Ce matin, lorsque j'ai regardé mes mails, j'avais des nouvelles d'un producteur de films pornos pour un tournage qui pourrait avoir lieu prochainement.
Le simple fait de penser au porno et donc, de me faire baiser me donne envie de me trouver de la bite aujourd'hui.
Venant de me lever, je prends d'abord le temps de prendre mon café, mon deuxième puis de fumer ma clope.
Par la fenêtre, j'observe la neige tomber, le paysage est déjà très blanc.
Un peu plus tard, aux infos, ils annoncent que sur la route c'est déjà le bordel.
Pour aller sur Paris, c'est mort, c'est un coup à ce que je sois bloqué comme un "connard" sur la route et au bois, je crains que ça soit très calme aussi.
D'abord je me connecte sur différents sites et sur diverses applications.
Comme il ne se passe pas grand-chose, je décide tout de même d'aller me préparer et d'aller faire un tour au le lieu de drague.
S'il y a probablement moins de monde, je pense qu'il y a quand même un ou deux mecs et qui ne tente à rien, n'à rien.
Une bonne heure s'est écoulée, me voilà dans ma voiture recouverte d'hydrométéores.
Bon...ok j'ai voulu faire mon savant, là mais ma voiture était recouverte de neige quoi !
Vu le temps et la température (-1°) je serais très probablement mieux chez moi, au chaud, sous la couette à regarder un navet à la TV.
Mais je suis une lope et j'ai besoin de ma dose de queues et de jus.
Nous sommes le 16 janvier et je n'ai pas été dosé depuis le 12.
Demain, je ne serais probablement pas disponible donc il je prends mon courage à deux mains, j'active mon optimisme, je passe la première, appuie sur l'accélérateur et advienne que pourra.
Sur la route, la densité de circulation est respectable mais vu la neige au sol, je suppose que sur le lieu de drague ça va être bien épais et surtout, j'espère que
je ne vais pas galérer une fois sortie de l'autoroute.
Avec les services compétents, il faut toujours se méfier. Ça n'est franchement pas impossible qu'ils aient consciemment oublié cette sortie ou le "parking" du lieu de drague.
Finalement non, c'est assez bien dégagé et arrivé sur place, j'observe deux voitures de stationnées, des familles en marche pour aller se balader et deux mecs qui stationnent à l'entrée des bois.
L'un d'eux n'est ni moche ni beau et l'autre et bien...
Disons qu'il est moins à mon goût que le contraire mais il me faut faire ma B.A pour mon trou alors si vraiment je n'ai pas d'autre choix, ça va se réfléchir.
Celui qui m'attire le plus s'apprête à entrer dans sa voiture alors je me dépêche de sortir et d'aller dans le bois pour lui faire comprendre que je suis en chasse et qu'il m'intéresse.
Putain il caille !!!!!
Plus loin, je m'arrête et je me retourne pour voir s'il m'a suivi.
Malheureusement, personne aux alentours, il a dû retourner dans sa voiture.
Cette sensation d'être seul dans les bois ne me motive pas à parcourir les allées que l'on ne devine plus à cause du manteau blanc, alors je retourne moi aussi à ma caisse.
Arrivé à sa proximité, le type que je pourrais choisir pour ma B.A m'interpelle.
"Il n'y a personne" me dit-il pour entamer la conversation.
Le trouvant pas à mon goût et n'étant pas encore complètement désespérer, je ne m'attarde pas sur mes réponses et me presse de retourner au chaud.
Occupé à chasser sur les applications, le temps qui passe ne me paraît pas trop long mais il est là quand même, il s'écoule et ce, sans que mon trou se prenne quoi que ce soit.
Pour augmenter mes chances, j'envoie un message à Jérémy, un mignon qui m'a dosé il n'y a pas longtemps aussi, qui aime a les mêmes trips que moi, qui a l'air d'apprécier la lope que je suis et
qui aimerait me traiter comme tel dès que possible.
J'aime son ouverture d'esprit, ses trips, sa manière de parler/de me parler et j'avais aimé sa queue. Elle était aussi bonne à prendre dans ma bouche et que mon trou à jus.
Puis j'envoie des messages à deux/trois autres gars au cas où...
Jérémy me répond, nous commençons à parler mais je suis convaincu à 99% que je ne vais pas le voir aujourd'hui, malheureusement.
Un autre me répond en me disant qu'il est dispo now et qu'il a besoin d'une "pute".
Enfin, le troisième que j'aimerais bien voir aussi parce qu'il a une superbe bite.
Tellement belle et surtout, tellement grosse qu'elle donne autant envie qu'elle ne pourrait faire peur.
Lui ne va pas du tout me répondre, il ne doit pas être disponible.
Pendant ce temps-là, sur les applications, je parle avec quelques mecs et un autre est également disponible maintenant mais ses photos me font craindre qu'il ne
soit pas mon style et que je sois déçu une fois sur place.
Vu le temps de merde et le risque de bouchons sur la route que ça représente, je ne vais pas m'y déplacer.
Le gars au bois qui pourrait me satisfaire si vraiment je ne trouve rien, s'approche de ma voiture et se colle à ma vitre que je vais baisser pour écouter ce qu'il a à me dire.
Il me demande s'il peut monter dans ma voiture pour se réchauffer.
Hésitant et sympa (je pense) j'accepte et ce, en me disant que si finalement ça colle de prime abord, peut-être qu'une fois dans ma caisse il va sortir sa queue et que si elle me plaît, je
pourrais lui proposer qu'on aille dans le bois pour qu'il me dose.
Il entre et me raconte qu'il vient de se faire baiser par un mec qui a une bonne queue large.
Bon... Un passif, ça ne va pas m'aider ça ! Puis n'étant pas à mon goût, ça ne va pas me donner d'être actif et de me vider pour calmer mes ardeurs.
Sans rien me demander, le gars attrape sur un paquet de mouchoir et un paquet de chewing-gum dans ma voiture.
Surpris, je commence à l'envoyer chier et lui dis ironiquement que s'il veut, il fait comme chez lui aussi !
Enfin... il s'excuse et moi je patiente qu'il se décide à repartir. Ce qu'il fera au bout de 20 min environ.
20 minutes durant lesquelles il va essayer de parler avec moi alors que je suis surtout occupé à chasser sur les applications et à répondre à mes messages.
Sur l'application, un mec beau gosse à l'air d'être à seulement 6 km et notre échange l'invite à m'envoyer des photos de sa queue.
J'étais déjà assez chaud et déjà en manque mais là..... 🥵🥵🥵😍😍😍😛😛😛
Cette bite est magnifique, le mec l'est aussi et j'ai carrément envie qu'il vienne me baiser et me doser.
Malheureusement, là où je suis ça n'est pas sur sa route.
Enfin l'autre à côté de moi se décide à sortir et moi, enfin seul, je continue ma chasse.
Au gars qui est disponible now et qui pourrait bien me plaire, je réponds que j'ai envie de filmer avec mon téléphone lorsque je suis en train de me faire baiser.
Il refuse, me dis que c'est pas son délire.
Ayant vraiment envie de ça aussi, je décline notre potentiel plan et lui envoie une vidéo pour lui montrer le style et lui assurer que lorsque j'en fais, on ne voit pas la gueule de mon
baiseur.
Maintenant, autour de moi, plus de voiture et le type qui est monté dans la mienne toute à l'heure vient de partir.
Je crois qu'ici je suis désormais complètement seul à part les quelques cyclistes et piétons qui sortent de l'allée centrale et qui se dirigent vers la sortie.
Enfin arrive une nouvelle voiture de laquelle va sortir un mec qui n'a pas l'air trop mal.
Une fois est-il entré dans les bois que je me presse de sortir et tente de le suivre. J'espère que de plus près il est un minimum à mon goût.
Arrivé à sa proximité, je vois qu'il est mais je vois aussi que moi je ne dois pas être au sien. En tout cas, il ne s'arrête pas et ne me montre aucun signe d'intérêt.
D'la merde, il fait froid, je n'ai pas de temps à perdre alors je me casse.
En face de moi, un mec arrive donc je vais en sa direction pour le croiser, voir s'il me plaît et agir en fonction.
Nous nous croisons et bien qu'il soit tout emmitouflé dans son manteau, il a l'air pas trop mal et c'est un jeune.
Demi-tour toute....
Après quelques pas, force est de constaté que lui non plus n'a pas l'air intéressé.
Mais putain, personne ne veut d'une lope ou quoi, aujourd'hui !?
Au même moment, celui à qui j'ai envoyé la vidéo me répond :
Bonne pute !
Alors je rebondis sur son message et lui dis qu'effectivement, je suis une bonne lope et c'est pour montrer à quel point j'aime ça que j'ai envie que le plan soit filmé.
Finalement, il finit par accepter et ce, parce qu'en plus pour s'assurer de ne pas voir son message, je lui propose de mettre une cagoule que j'ai avec moi.
Il me donne son adresse et me dis de venir now !
Puis il me précise qu'une fois sur place, il faut que j'attende que quelqu'un entre ou sorte de la résidence pour y accéder.
Nan mais le gars il se fout de moi ou quoi ? Il croit vraiment que je vais galérer dehors, sous la neige, à une température négative parce que lui ne veut pas sortir pour venir me chercher ?
Franchement, je le sens mal ce plan, ça ressemble trop à un rendez-vous foireux ou à un mec qui ne sait pas ce qu'il veut.
À la lecture de ma réaction, il finit par me téléphoner et enfin nous arrivons à nous mettre d'accord.
Me voilà reparti du bois, en direction de chez le mec qui habite juste à côté de chez moi. Il me faut 10 minutes pour arriver chez lui, autant de temps qu'il me
reste pour lui envoyer un nouveau message en précisant que s'il a envie de pisser, je suis preneur aussi et qu'il peut me remplir la cuve avec aussi.
Mais c'est aussi autant de temps pour me dire que les photos que j'ai vues de lui ne sont pas top et que je ne suis pas certain qu'il soit mon genre.
Enfin.. on verra, il n'est pas loin de la maison et au pire je rentre chez moi.
Arrivé sur place, encore une galère... Il n'y a pas de place 😡😡😡
Après en avoir enfin trouvé une, me voilà en bas de chez lui puis, devant sa porte d'immeuble.
C'est un rebeu d'une cinquantaine d'année qui vient m'ouvrir mais très bien conservé. Il me fait passer devant lui et avec sa main posée sur mon dos, il me guide. En même temps, il pose son autre main sur mon cul et commence à tirer sur mon pantalon pour le descendre, tel un mec bien chaud et impatient de s'occuper de sa lope.
Tous les deux dans son appartement, il s'empresse de se mettre à poil et me dis de s'occuper vite de sa tige.
Rapidement, je suis torse nu, à genoux devant cette très belle bite que je suis maintenant en train de lécher puis de sucer.
À peine ai-je commencé ma mission de salope que le mec me dit de bien me donner, de bien m'appliquer pour qu'il produise beaucoup de jus.
Le gars sait ce qu'il veut, il sait que c'est une bonne salope accro à teub qu'il a devant lui et que je suis venu chercher du bon foutre.
La bite est bien raide dans ma bouche, ma langue bien saliveuse permet à mes lèvres de bien glisser sur la tige, de bien la lubrifier aussi, avant qu'elle ne vienne me visiter le trou.
Ce moment de suce n'a pas débuté depuis longtemps mais ce que veut le gars, ça n'est pas tant se faire pomper mais me baiser.
Il me demande de me redresser, il me tâte le trou et me donne pour consigne, d'aller me poser sur le canapé, de bien me cambrer, lui tendre mon cul.
Ma croupe est désormais à sa merci.
Je n'ai pas vraiment eu le temps de bien me tartiner l'entrée de la cuve avec du gel, qu'il est déjà à l'intérieur.
Comme c'était convenu par message, j'ai envie que cet instant où je me fais baiser soit filmé et comme il était dubitatif, je lui avais proposé qu'il mette une cagoule que je lui propose de nouveau.
Avant de m'enfiler sa queue, il se couvre avec.
Nous y sommes, son bon chibre est en moi et caresse mes parois par les coups de reins que le type rythme avec beaucoup de professionnalisme.
Ma cuve aussi souple c'est vraiment qu'elle était en manque de jus.
En exprimant quelques râles, il me dit qu'il est en train de se balader dans mon trou.
Je n'avais encore jamais entendu ce terme, cette expression mais j'aime assez et ça m'excite.
Mon trou est bien ouvert et je prends un plaisir de dingue à me faire baiser comme il est actuellement en train de le faire.
Vraiment, j'étais en manque de queue et là... Là, je suis en train de prendre mon pied.
Est-ce parce que j'ai bien salivé sur sa tige ou tout simplement que ma cuve est bien open, je ne sais pas mais ça glisse tout seul.
Mes gémissements expriment bien à quel point je suis en train de prendre mon pied.
En lui posant la question, je m'assure que ma chatte lui plaît, qu'il est bien dedans et je lui exprime que j'adore sa tige, lui dis qu'elle est trop bonne, que je kiff me la prendre et que clairement, il faut qu'il me défonce plus souvent.
À lui aussi, je veux bien servir de vide-couilles régulièrement et c'est assez facile - en théorie - vu qu'il habite juste à côté de chez moi.
Ses bruitages m'excitent de ouf et font que je me lâche bien. Il a d'être content de me baiser comme ça et il prend bien son temps à filmer avec mon téléphone. Lui
qui n'était pas chaud pour ça...
Dans mon trou, il bouge bien dans tous les sens et fait des mouvements comme si sa bite faisait du "houla-hoop" avec mon anus.
Si je ne suis pas au 7ème ciel, je n'en suis pas loin.
Il varie sa manière d'agiter sa bite dans mon intérieur puis il se retire.
Je m'empresse de me retourner et je me jette sur sa bite comme un chien se jette sur un os.
Dans ma bouche, elle est bien glissante, elle sort de mon cul, c'est trop bon, j'aime ça.
Ce bâton est un vrai délice et je n'ai pas envie de le lâcher.
Je n'ai pas envie de le lâcher mais en même temps, j'ai encore envie qu'il me travaille le trou, qui me ramone le conduit à jus et j'ai très envie que cette queue me tapisse l'intérieur de cette
sauce en production depuis que nous avons commencé le plan.
De nouveau, je me retourne, je tends bien mon cul, je me cambre et cette chatte face à lui remplace les mots nécessaires pour lui réclamer de me la mettre encore.
Je crois qu'il aime ma position et qu'il aime mon envie de bites.
Il apprécie la manière dont je réclame sa queue avec mon trou et il va satisfaire mes envies.
Il me met encore cette excellente tige.
De la sentir m'écarter le cul doucement pour se glisser à l'intérieur, c'est presque inexplicable, il faut le vivre pour le comprendre.
Bien sûr, beaucoup savent ce que ça fait de se prendre une bite dans le cul mais chaque queue fait son effet, chaque moment est différent et là, je vous assure, c'est du haut niveau.
La cadence s'intensifie et il prévient avec ses bruits que la sauce est en train de monter.
Le voilà en train de se lâcher en moi.
Son jus coule dans mon intérieur.
Cette sauce m'aromatise les entrailles, c'est trop bon.
Maintenant nous fusionnons, ses spermatozoïdes jouent aux jeux olympiques dans mon intérieur, il font la course et ne pourront se caler nulle part en vue d'évoluer. Non, comme face à une voie
sans issus, ils sont obligés de se balader en moi.
Ce jus est forcé de rester dans ma cuve jusqu'au moment où il sera temps de l'éjecter.
Un sperme chaud est abondant qui est en moi depuis plus de 4 heures au moment où je suis en train d'écrire ce récit.
Du foutre que j'aimerais tant savoir mélangé à d'autres et que je ne suis pas encore prêt à expulser.
Du jus, du jus, du jus... Vivement les prochaines doses.
À qui l'tour ?
@Lopayop
Est-ce parce que nous sommes en crise sanitaire que la situation est telle, je ne sais pas mais toujours est-il qu'en ce moment niveau sexe c'est très calme.
Enfin je ne désespère pas pour autant et me concernant, la chasse est toujours ouverte.
Alors aujourd'hui je me suis connecté sur tout un tas de sites et sur quelques applications pour voir ce qu'il se passe ou surtout dans l'idée de réussir à me trouver de la queue.
Rien de fou ! Ni d'un côté, ni d'un autre.
Étant vraiment chaud ou en manque, j'envoie un signal à un gars avec qui je parle depuis longtemps et qui cherche une bonne salope.
À chaque nous ne sommes pas disponibles au même moment mais il paraît que la roue finit toujours par tourner et il s'avère qu'aujourd'hui, il est disponible, tout comme moi.
Après nous être brièvement accordé, je file sous la douche, notamment pour me préparer à me faire défoncer.
Si pour beaucoup la préparation peut prendre que quelques minutes, pour ma part, il me faut presque une heure. Et oui, je m'assure de pouvoir me faire défoncer par une, puis deux ou trois queues,
sinon plus et ce, sans avoir un risque d'accident.
Une fois sortie de ma douche, que j'ai mis mon Jock, mon survêt et après m'être coiffé, je reçois un message qui annonce que finalement un imprévu s'impose et met en danger mon plan à venir, prévu.
C'est aux alentours de 17h que j'ai rendez-vous et à seulement quelques minutes de partir, voilà que je vais devoir envoyer un message au type pour annuler le plan et je risque de passer pour un mytho.
Finalement, je m'arrange et argumente mes propos pour ne pas avoir besoin de me déplacer là où l'imprévu m'attend et réussir à me rendre chez ce gars qui m'attend, qui a l'air bien chaud et qui saurait s'occuper d'une bonne lope.
Yess, c'est bon !!!! Je peux y aller.
J'envoie un message au gars pour lui dire que je décolle. Quelques minutes plus tard, il me laisse un message vocal me disant que le temps que j'arrive, qu'il essaie de trouver d'autres mecs pour s'occuper de moi et que lorsque j'arrive, la porte sera ouverte, que je devrai me mettre à poil en arrivant et ensuite, bien lui sucer la teub.
À l'écoute de ce message et de quelques autres, je suis vraiment impatient de m'occuper de sa tige.
Arrivé sur place, je sonne à l'interphone indiqué, saisi le code donné à la deuxième porte et je monte au 7éme étage.
Effectivement, la porte est ouverte, j'entre et dans le couloir de l'entrée, une ambiance lumineuse que j'apprécie pour son côté cosy.
Je retire mes skets et m'avance dans le salon où je vois sur la droite ce gars qui me salue.
Il est posé dans son canapé en mode pacha, un t-shirt orange, un short noir avec la queue sortie et lui en train de la branler.
Sur sa gauche une grande table avec tout un tas de choses posées dessus, son ordinateur avec un film de cul et son portable connecté à une application de rencontre.
Comme convenu, je me dessape et je me précipite sur sa tige.
Une queue qui n'est pas de la taille dont j'apprécie le plus les bites mais je ne suis pas non plus très regardant ou bien très exigeant et je ne vais quand même pas me plaindre alors que je n'ai pas eu de bite à m'occuper depuis le 7 janvier, sachant que nous sommes déjà le 12 de ce mois.
Le type fait attention à ses lopes. D'abord il était en train de se mettre dans l'ambiance avant mon arrivée pour s'exciter et me donner envie dès que j'allais débarquer mais en plus, il a pris soin d'installer au sol deux coussins pour que je sois confortablement installé une fois à genoux avec sa bite en gueule.
Ma bouche englobe son gland puis sa que dans son ensemble et lui, me choppe l'arrière de la tête pour rythmer mes mouvements.
Parfois il y va un peu trop brutalement à mon goût et me fait un peu mal.
👉 Une première fois, je ne dis rien.
👉 Une deuxième fois, je ne dis rien.
👉 Une troisième fois, ça ne le fait plus.
Soudainement, je lâche sa queue et d'un ton assez sec, je me rebelle et je lui dis :
"Doucement, doucement, doucement, ne t'excites pas !"
Lui se mets à rire tel un boss qui se fout de la gueule de ton soumis.
Moi, je suis pris d'hésitation. Est-ce que je reste et je continue de m'occuper de son chibre ou bien, est-ce que je me casse ?
N'ayant pas eu de bite à m'occuper ces derniers temps, je préfère rester patient et attendre de voir s'il se calme.
De nouveau la bouche sur sa bite, le gars me dit qu'en fait je suis obéissant mais que je ne suis pas un soumis.
Peut-être a-t-il raison, je ne sais pas.
En revanche, c'est vrai que je ne suis pas toujours une salope docile.
Je sais ce que je veux, je sais ce que je ne veux pas et ce qui m'importe, c'est le respect mutuel.
Surtout, ce que je veux lorsque je fais un plan, c'est que mon partenaire soit attentif à moi et moi, attentif à lui.
Que chacun observons ce qui plaît à l'autre, les choses auxquelles nous réagissons et la manière dont nous le faisons.
Maintenant il fait plus attention et moi je m'applique autant que possible sur cette queue.
Il me dit avoir envie de me baiser mais me précise qu'il n'est pas endurant et qu'il a besoin de prendre un peu de chems pour bien me baiser.
D'abord l'endurance n'est pas ce qui m'importe, ce que je veux ça n'est pas me faire défoncer pendant des heures mais me prendre autant de sauce de couilles dans le
trou.
Ensuite, ce que je crains, c'est que les chems lui fassent perdre en performance. Qu'il finisse par ne plus bander correctement et qu'il n'arrive pas à cracher.
Finalement, pendant que je le suce, il prend une substance et à peine deux minutes après, il me demande de m'installer sur le canapé qui à ma droite.
Me voilà installé, les genoux posés sur les coussins du mobilier, mon trou lubrifié et mon cerveau pris par quelques effluves de Poppers.
Lui s'installe derrière et rapidement, sa queue se trouve dans mon intérieur.
Putain c'que c'est bon de se prendre un chibre même si celui-là n'est pas des plus importants que j'ai pu avoir dans la cuve.
Au bout d'une dizaine d'allers-retours, il crache.
Me voilà dosé mais pas encore satisfait.
Vous l'avez compris, malheureusement pendant ce plan rapide, il n'aura pas eu le temps de trouver d'autres mecs pour s'occuper de moi et ces potes habituels n'étaient malheureusement pas disponible.
Une fois sortie de chez lui, je reste quelques minutes dans les parages en étant connecté sur les applications pour trouver ceux qui voudraient bien me doser.
Sans grande surprise, je ne trouve rien dans les parages mais j'ai vraiment trop envie de me faire baiser encore.
Que faire dans ces cas-là ?
Et bien mettre le GPS et regarder combien de temps annonce le GPS pour aller au jardin des Tuileries (Paris).
Il m'annonce 30 minutes. Go !!!!
Arrivé sur place, il pleut légèrement et je crains que les lieux ne soient pas très fréquentés mais maintenant que je suis là, je vais voir.
Sur place, quelques mecs se baladent et moi, direct je descends à l'un des escaliers.
En bas, deux ou trois mecs. Dehors il fait nuit et la lune n'est pas assez lumineuse pour vraiment deviner à quoi ressemble les gars.
Motivé, je m'oriente vers le fond, passe mon bas de survêt sous mon cul, prends du gel, me lubrifie le cul et j'attends.
Sur ma droite un mec est posé, je commence à lui toucher la queue qui est déjà sortie. Elle bande bien !
Je me penche et je me mets à la pomper.
Cette queue est trop bonne ! Elle n'est pas petite, pas large et je dirai même qu'elle à la taille idéale pour mon trou.
Après l'avoir sucé un peu, je tente de lui présenter mon trou mais le type n'a pas l'air de vouloir enculer un autre mec. Juste se faire sucer.
Autour de nous c'est comme un hall de gare, ça bouge, ça tourne et parfois ça touche.
D'ailleurs, ça fait un moment qu'un mec est en train de me toucher les fesses mais il n'agit pas et ça commence sincèrement à me gonfler.
Où il y va ou il arrête mais je suis là pour me prendre des tiges juteuses et non pour me faire caresser comme on caresse son chat de compagnie, bordel !
Finalement, je dégage sa main et je me régale toujours à sucer le mec à la bonne bite.
Sur ma gauche, je sens que ça bouge, je me redresse, regarde s'il n'y a pas un type à attirer et je vois deux mecs en train de s'embrasser.
Je saisis la queue de celui que je devine comme étant un jeune alors que l'autre me paraît plus ancien.
Sa bite saisie par ma main, je constate qu'elle à l'air délicieuse et je suis certains qu'elle sera très bien dans ma bouche chaude ou mieux, dans mon trou.
Lui aussi je commence à le sucer tout en prenant garde de ne pas lâcher le chibre de l'autre.
Mais je ne comprends pas bien l'idée... Ce second mec bouge et va de mec en mec. Parfois il se penche et présente son cul, je comprends alors qu'il est possiblement plus en mode passif qu'actif.
Ma détermination étant, je tente de ne pas le perdre de vue malgré l'obscurité du lieu et après avoir réussi à retrouver sa bite en main puis en bouche, je tente de le garder pour moi.
Tout en embrassant le mec plus âgé, il se met à remplacer ma bouche par sa main mais sans pour
autant me faire comprendre qu'il faut que je me casse.
Non, il se branle et j'interprète son comportement comme une préparation à me cracher dans ma gueule de Lopayop.
Et il bouge de nouveau. Je le suis, re-choppe sa queue tel un "dalleux"
Après l'avoir pompé encore, je me redresse et lui présente mon cul juteux en manque de dose supplémentaire.
"Hallelujah" !!!!
Il me la met et il me la met bien au fond. Enfin, il est en train de me défoncer la chatte
et vraiment, sa queue en moi c'est un bon gros kiff, j'adore !
Je ne veux plus qu'il me lâche, j'ai envie qu'il mette de lui en moi.
Malheureusement, celui-là à la bougeotte et après s'être retiré de mon cul, il re-bouge avec le mec plus âgé du début.
Moi je m'occupe de nouveau de la bite de l'autre puis un temps passé, je reviens à la charge.
Pendant que je suis en train de le pomper, je suis en train de tâter la bite du mec qui viens d'arriver et qui me trouve sur ma droite.
Le mâle ne bande pas tout à fait, sa queue à l'air relativement fine mais je suis certains qu'elle pourrait faire du bien à mon intérieur.
Tout en occupant ma bouche avec la bonne tige qu'elle caresse avec mes lèvres, je décale légèrement mon trou pour le présenter au dernier arrivé.
Le voilà en moi en train de me ramoner. Le must !!!! Deux queues.... 😋😋😋
Voilà que lui aussi s'arrête assez rapidement.
C'est à se demander si c'est mon cul qui ne fait pas l'affaire mais je serais surpris. Il est bien lubrifié, il est juteux, plutôt bien ouvert et normalement il devrait faire du bien aux mecs qui
le visitent.
Non, je crois plutôt que les mecs n'ont pas envie de cracher de suite et essayer de se taper d'autres gars ou bien, se faire baiser eux aussi.
Désormais, nous ne sommes plus que deux en bas.
👉 Le premier que j'ai sucé après être arrivé
👉 Moi
Le mec à toujours sa queue à l'air et il est toujours en train de bander comme un âne alors j'y retourne et cette fois, j'aimerais bien réussir à le faire cracher.
Alors que je suis en train de lui sucer le dard, il me choppe la main gauche, la pose sur son cul et me fait comprendre qu'il a envie que je lui travaille le trou avec mes doigts.
Ah mais non, je commence je sais comment ça va finir ! Je sais que son trou risque de m'exciter et me donner envie de le visiter.
Dans le mille ! Son trou bien lisse à l'air très accueillant et comme le mien, il a l'air totalement avide de queues.
Je me redresse et étant aussi en train de bander, il se met à me prendre la tige en bouche.
Il pompe divinement bien et pendant qu'il s'occupe de mon chibre, mon doigt se promène dans son cul généreux.
Allez c'est bon, il a gagné !
Je le retourne, pose ma main sur son dos et le fait basculer.
Sans avoir besoin d'y aller progressivement, ma queue s'engouffre dans ce trou très très très accueillant.
Toute ma queue est comme dans un écrin de velours. C'est doux et vraiment agréable de faire les vas et vient.
Sans vraiment de retenue, je le baise comme j'aime me faire baiser et je suis agréablement
surpris.
Habituellement, lorsque je suis actif, je suis tellement excité que j'ai envie de cracher directement mais là, j'arrive à y aller et prendre mon pied à baiser ce passif.
Lui est habitué.
Pas un habitué des lieux (quoi que je ne sais pas) mais habitué à se prendre des queues.
Malgré la cadence et ma queue de bonne taille, il ne dit pas un mot, il ne fait pas un bruit. Je sais pourtant qu'il apprécie.
Voilà, je sens que mon jus est en train de monter et pendant ce temps-là, moi je ne me suis pas
pris de nouvelle dose.
Si je veux encore m'en prendre, il faut que je m'arrête, sinon je vais jouir et le cas échéant, je sais que ça va me couper et que je n'aurai plus envie de rien.
Je stoppe l'action et lui présente ma bite pour qu'il la suce encore.
Qu'est-ce que je suis con ! Ça n'est pas comme ça que la pression va redescendre. Sa bouche étant, que j'ai encore plus envie de pomper et je me refuse de lui jouir dans la gueule, aussi gourmande soit-elle.
Alors je le retourne de nouveau, entre direct ma queue dans ce trou qui à en mémoire le diamètre de ma bite et je me mets à le limer encore.
Je fais un aller-retour, un deuxième, un troisième et ainsi de suite.
Mais je ne peux pas attendre le dixième, son cul est trop trop trop bon.
Hmmmm.... Nous y sommes, j'y suis !
Dans ce trou béant, mes jets éclaboussent les parois de mon jus.
Quand je suis dans cette posture, je le sais, ma sauce est abondante et surtout, mes jets sont puissants.
Dans ce trou généreux, je sens bien mon jus en train de le remplir, c'est vraiment trop bon.
Ma bouche laisse s'exprimer mon plaisir et laisse raisonner dans cet endroit presque clos, mes sons de plaisir.
Je crois bien que tout mon jus est bien en lui et je remets quelques coups de reins pour bien tasser ce jus au fond de la cuve.
Je ressors ma tige à moitié pour lubrifier les parois de ma sauce et dilater encore un peu le trou pour que d'autres puissent y prendre place et glisser facilement dans cet intérieur qui, comme le mien, ne demande qu'à se faire visiter et remplir.
Entre temps, deux mecs sont arrivés. Vont-ils entrer dans le musé du jus que représente le cul de la lope que je viens de baiser ? Je ne sais pas et malheureusement, je ne le saurai jamais.
Me voilà vidé et il est temps de rentrer chez moi.
@Lopayop
Et si cette fois, je vous parlais de ma première fois avec un mec ...
C'est aux alentours de mes 15 ans que j'ai découvert mon attirance pour les garçons et comment l'ai-je découvert ?
En regardant la bite d'un camarade lorsque j'étais en internat.
Si mes souvenirs sont bons, il était Guadeloupéen et s'il était encore jeune, il avait déjà une sacré bite. De lui, je m'en souviens très bien, il s'appelle Benjamin.
À cette époque, je ne savais pas trop qui j'étais et comme pour beaucoup, il me fallait entrer dans la case "normale".
Alors je m'étais mis avec une fille avec qui je suis resté environ 3 ans.
Plus tard, je vous en dirais plus mais cette fois, je vais rester sur ma lancée de ma première fois alors que j'avais 17 ans.
De retour chez mes parents, notre père prépare une surprise à mes frères, mes soeurs et moi. Il organise une journée à Disneyland Paris.
Ayant prévu que nous pique-niquions, la veille, il nous a fallu aller faire quelques achats pour préparer la journée.
Arrivé au magasin, nous croisons un "vieil ami".
Lui a 15 ans et avant nous étions très très proches, lui, son frère jumeaux, leur voisine et moi. Nous étions presque des inséparables et tous les jours, nous trouvions de quoi nous
amuser.
Sa famille était la mienne, ma famille secondaire, avec qui j'aimais passer mes journées, mes soirées, mes week-ends et moments de fêtes.
Plus tard, sans trop connaître la raison, nous nous sommes éloignés, perdus de vue et allons jusqu'à ne plus nous donner de nouvelle.
Alors, de le croiser ici dans le magasin me rends heureux et il me tarde déjà de renouer contact.
Nos parents respectifs se saluent, nous en faisons de même et étonnamment, mon père propose à cet ami de venir avec nous demain au parc d'attractions.
Heureux, il laisse ses parents pour nous accompagner dans les rayons du magasin puis, chez mes parents pour y passer la nuit avant notre départ à l'aventure.
Il doit être environ 18h, nous avons encore du temps devant nous avant de passer à table et maintenant que nous venons de nous retrouver, il nous faut nous raconter
ce temps perdu.
Alors je propose à mon ami d'aller nous balader dans la rue. Sur le chemin, je lui demande ce qu'il devient et avec humour, s'il est marié, s'il a des enfants, etc.
Du tac-o-tac, il me répond que non, il n'a pas d'évolution en ce sens mais qu'en revanche, il a couché avec un mec.
Je reste bouche bée !
Quoi ? Tu as couché avec un mec???
À cet instant, je suis à la fois choqué, curieux et surtout déstabilisé.
Si je me souviens avoir maté la bite de mon pote sous la douche à l'internat, je suis à cent lieues d'imaginer une quelconque attirance pour les mecs et ça me parait même anormal.
Pour autant, paradoxalement j'oriente la suite de mes questions sur ce propos. Je lui demande comment s'était, comme ça s'est passé, qu'est-ce que ça fait.
Lui me répond avec un naturel et une aisance remarquable alors qu'il n'a que 15 ans.
Avec le recul, rien ne m'étonne, il s'est toujours affirmé et a toujours su s'imposer ou imposer ses idées.
Il me répond que c'était avec un "black" (ce sont ses mots de l'époque), que c'était bien puis... il passe à être chose.
En revanche - moi - je n'arrive pas à décrocher de cette nouvelle qui est tombée là comme un cheveu sur la soupe.
Alors je reste bloqué et je continue de lui poser des questions qu'il va finir par esquiver.
Trouvant ça normal de coucher avec un mec, sinon d'expérimenté dans ce domaine, il ne voit pas l'intérêt continuer à parler de ça et tente de dévier vers d'autres sujets de conversation.
Sur notre chemin un tunnel permettant de passer sous la route pour aller de la rue sur laquelle nous sommes à son parallèle.
Allez savoir pourquoi, j'ai toujours en tête cette relation homosexuelle et je me mets à bander à imaginant bien des choses en passant dans cette galerie urbaine.
Notre balade terminée, nous rentrons chez mes parents, passons à table et terminons notre soirée dans ma chambre.
Impatients d'être demain et ayant beaucoup de choses à nous raconter encore, nous n'arrivons pas à dormir.
Au moment où j'écris ce récit, je ne suis - en revanche - pas en mesure de vous dire ce que nous avons fait pour passer le temps, je ne me rappelle pas sauf...
Sauf cet instant où est arrivé un petit jeu de questions.
Il est tard maintenant et je n'arrive absolument pas à m'enlever de la tête cette annonce qu'il m'a fait spontanément cet après-midi.
Pour faciliter la chose, je propose à mon ami un petit jeu que j'appelle, le jeu des questions.
La règle est simple, nous nous fixons un temps sur lequel chacun des joueurs pourrons poser des questions sur une feuille afin que la personne concernée puisse y répondre plus aisément que si c'était à l'oral.
Je crois que c'est reconnu que l'écrit permet plus facilement de se confier.
Il accepte et nous voilà tous les deux en train d'écrire nos questions pour l'autres puis, une fois l'alarme retentissante, nous passons la feuille à l'autre pour qu'il puisse écrire ses réponses à la suite.
Au début, nous y allons timidement et posons des questions soft, pour ne pas dire connes.
Et rapidement, nous y allons crescendo. Les questions dévient ENFIN sur la sexualité et les miennes sur l'homosexualité.
Sans broncher, il me répond et en lisant son retour, je me mets à bander.
En fait, je crois que moi aussi j'ai envie d'essayer !
Arrive cette question qui va tout changer dans ma vie.
"Est-ce que tu aurais envie d'essayer avec moi ?"
Mes yeux d'adolescent lise cette réponse simple et efficace.
"Oui"
La suite, je ne m'en souviens pas trop, enfin... Si, je me souviens parfaitement d'une partie. En revanche, je suis incapable de dire comment s'est venu.
Avons-nous continué à nous poser questions ou bien sommes-nous passés directement au concret, je ne sais plus.
Je n'ai pas le souvenir de s'être déshabillé sauvagement comme si nous attendions vraiment que ça.
Non, il me semble que ça s'est déroulé avec beaucoup de délicatesse, beaucoup de tendresse, de complicité et beaucoup de respect.
Ce moment était un peu comme magique.
Et si je ne me rappelle pas de l'évolution entre le temps où j'ai posé cette fameuse question et celui où j'ai découvert sa queue, je me souviens très bien que cette tige est l'une des meilleures que j'ai pu déguster depuis cette première fois.
Par pudeur probablement, nous sommes tous les deux dans le noir, allongés sur mon lit.
Ce dernier étant un lit une place, nous sommes plus étroitement collés l'un à l'autre que si j'avais eu la chance d'avoir un mobilier plus grand.
Nous nous embrassons mais nous ne nous roulons pas de pelles.
Vraiment, nous sommes à la fois dans la découverte, le respect et la pudeur.
Pour lui ça n'est que sa deuxième expérience avec un gars et pour moi, la première alors allons-y doucement mais sûrement.
Sans lumière, mes mains découvrent son corps et les siennes découvrent le miens.
Nous devinons les formes de l'un et de l'autre et je dois avouer que ça fait bizarre mais en même temps, c'est tellement bon ! Tellement agréable, curieux et excitant.
Ma main gauche est posée derrière la tête de mon ami pendant que ma main droite le caresse. Elle lui caresse le visage puis le torse et le ventre.
Dans le noir tous les sens sont décuplés et même ces cheveux un peu long est dorés, me procurent une sensation de dingue. Si je ne peux pas les voir, je visualise ce que je sais de mon ami et mes yeux fermés, je redécouvre encore dans ma tête celui que j'ai retrouvé toute à l'heure.
En évasion psychique, ma main droite s'évade, elle aussi, et la voilà posée sur cette bite.
Que dis-je.... Cette ÉNORME BITE !
Si le fait de ne pas voir ce à quoi j'ai à faire et que ça peut induire en erreur, il n'y a aucun doute sur la taille de cette queue. Et ça n'est pas non plus par manque d'expérience que j'ai cette sensation.
Ce gars est un étalon, un vrai !
Mes doigts se resserrant pour bien la saisir et se mettre à la branler, ils n'arrivent quasiment pas à faire le tour du chibre.
Tout en l'embrassant sur les lèvres puis sur le corps, je me mets à faire les mouvements de va et viens avec ma main avant d'orienter doucement ma tête vers cette zone qui m'attire.
Tout en le caressant, en l'embrassant, je parcours ce corps de jeune homme et j'aime ce qui est en train de se passer.
Après avoir découvert ses formes avec mes doigts, c'est avec ma bouche que je découvre son torse, ses tétons, son nombril et avant que mes lèvres ne se posent sur ce gland, c'est mon nez qui se positionne pour sentir ce que je m'apprête de déguster.
Je suis aussi surpris qu'attirer par cette bite, sa douceur, sa subtilité et sa taille.
Délicatement, mes lèvres se posent sur le gland, ma mâchoire se détend et ma bouche englobe la tige de mon ami.
Pour la toute première fois, me voilà en train de sucer !
Du haut du phallus, je m'oriente vers sa base et de sa base, je vais vers le gland.
Ma tête fait le yoyo sur cette queue et si ça aurait pu me dégoûter, il n'en est rien. Je prends du plaisir à pomper cette bite et lui, il a l'air d'apprécier ma bouche chaude est humide qui salive sur sa queue et qui la fait glisser avec entrain.
Parce que ce moment est également sur le rythme de la sensualité, je me dessaisis de cette queue, lâche le morceau et remonte du chibre vers la bouche du blondinet, tout en prenant soin et plaisir de caresser son corps et parcourir sa peau avec ma langue.
Mes lèvres se posent sur les siennes nous nous embrassons et inversons la position de nos corps.
Si jusqu'à là, il était sur le dos et moi à moitié sur lui, voilà que désormais c'est le contraire.
Forcément, un tel mec, une telle queue et un instant comme celui-ci, provoquent chez moi une excitation sans précédent et une gaule qui rend ma queue tellement raide que je pourrais presque penser qu'elle va finir par éclater.
À son tour, il descend sur mon corps et le découvre à l'aveugle.
Sa main est posée sur mon chibre et de ses cinq doigts, il me sert la queue fermement pour la branler et m'exciter plus que je ne le suis déjà.
Comme la pluspart des mecs de mon âge, j'avais déjà expérimenté la branlette et si bien entendu je me suis toujours fais plaisir, cette fois la branle prend tout un autre sens, transmet une toute autre sensation et j'aime ça.
Ses phalanges laissent place à sa bouche, sa chaleur, son humidité et tout ce qu'elle va me procurer en se posant sur mon gland avant de parcourir c'est quelques centimètres qui séparent l'extrémité à la base.
Wahouuuu, c'est SENSATIONNEL !
En plus d'avoir une queue divine, il a une bouche d'enfer.
Sur cet instant, je crois bien prendre autant de plaisir à me faire pomper le dard que de pomper le sien.
Aucune notion du temps et je crois bien que je n'ai pas envie que ce moment connaisse une fin pourtant, il va bien falloir.
D'abord parce que je ne suis plus très loin de l'éjaculation mais aussi parce que quitte à avoir une première expérience avec un garçon, autant là pousser jusqu'au bout et c'est maintenant une occasion "rêvée" pour connaître le goût que peut avoir le sperme.
M'ayant offert autant de plaisir et de sensation, à son tour il reprend le chemin de mes lèvres.
Après quelques baisers, quelques caresses et autre gestes d'affections, il me tarde déjà de retourner goûter à cette bite, la prendre en bouche et le sucer jusqu'à ne plus en finir.
Je m'attèle à ce plaisir charnel. D'en bas, je ressens le rythme cardiaque de mon partenaire en train de s'accèlerer, son souffle s'intensifie et il se met à gesticuler plus de plus en plus.
Le bas de son corps se relève légère puis redescend.
Mon étalon pousse sur ses jambes, relâche la pression et exprime quelques bruitages.
Sans qu'il ait besoin de me le dire, je sais qu'il va cracher et sa queue offerte à ma bouche, je n'ai pas envie de m'arrêter.
Je n'ai pas envie de passer à côté d'une telle opportunité, je n'ai pas envie de m'arrêter au risque d'être frustré par la suite de ne pas être allé au bout et de ne pas avoir pu goûter à ce nectar masculin.
Alors je continue, je le branle de plus en plus fort et j'accentue mes mouvements de tête du haut vers le bas et du bas vers le haut en excerçant une pression plus certaine sur cette queue qui occupe bien ma main et qui commence même à me provoquer une légère douleur à la mâchoire tellement il me faut l'ouvrir pour bien l'engloutir.
Soudainement, s'écrase sur la langue chaude est excitée, une texture lourde, sucrée et abondante.
Il est en train de m'éjaculer dans la bouche.
Est-ce parce qu'il a une très grosse bite qu'il a autant de jus, je ne sais pas.
Peut-être aussi que c'est ma première fois qui me donne ce sentiment qu'il ne s'arrête plus de jouir et que ma bouche se remplie de plus en plus.
Mais non, en fait il est vraiment un très bon producteur de sauce !
Sa jute est bien posée en moi, bien installée sur ma langue et à peine ce sperme caressant mes papilles, que je découvre ses premières saveurs.
Il faut le dire, c'est particiculier mais pas mauvais.
Je ne dirais pas que j'en prendrais tous les matins au petit déjeuner mais je suis bien content d'y avoir goûté et je ne pourrais jamais dire que je n'ai pas essayé au moins une fois avec un gars.
Agréablement épuisés par ce moment intime passé tous les deux, nous finissons par nous endormir.
Moi dans mon lit et lui, sur le matelas que nous avions posé au sol.
Hors de question de dormir ensemble pour deux raisons.
D'abord, je ne suis pas "pd" et ensuite, il ne faudrait pas que mes parents nous découvrent dans le même lit lorsqu'ils vont venir nous réveiller dans quelques heures.
Après cette fin d'après-midi, cette nuit et la journée que nous avons passé ensemble avec ma famille, mon ami et moi avions décidé de ne plus nous perdre de vue, de rester en contact et d'essayer de nous revoir aussi vite que possible.
Un, deux ou peut-être trois mois après, je suis allé lui rendre visite et pour nous occuper, nous sommes allés nous promener dans les bois au bout de sa rue.
Sur le chemin, nous avons parlé de tout, de rien et de cette nuit où nous avions fait l'amour.
De se remémorer ce moment nous a donné envie de recommencer mais cette fois, c'est dans la forêt que ça s'est passé et surtout, c'est essentiellement moi qui l'ai pompé.
Parce qu'il me fallait me confirmer que j'avais aimé son jus, de nouveau je l'ai pompé jusqu'au bout et vraiment, le goût de son nectar n'est pas désagréable.
Est-ce que toutes les queues ont le même goût ?
Est-ce que tous les jus ont la même saveurs ?
Sur le moment, j'ai bien dû me poser la question mais je pensai ne jamais découvrir la réponse.
À cette époque, j'étais bien loin d'imaginer la Lopayop que je suis devenu.
@Lopayop
👉 (1) Les amis de Lopayop | Facebook
Et voilà... reprise du travail donc pas de temps et d'opportunité pour me trouver un plan et me faire baiser.
Même si je n'ai pas de plan cul du jour à raconter, j'ai envie d'écrire un article et parfois, ça n'est pas plus mal de parler d'autre chose.
Encore que... C'est très lié à ce que vous pouvez lire d'habitude.
Dans mon article précédent, j'ai évoqué le SecteurX et aujourd'hui, j'ai envie dédier plus particulièrement l'article du jour à cet établissement que j'affectionne très particulièrement.
💦😍 Le SecteurX 😍💦
C'est un établissement dans lequel il fait bon d'être.
Situé dans le marais (Paris centre), la façade n'a rien d'extraordinaire même si elle est déjà bien plus attirante que d'autres établissements du même genre.
Ceci étant dit, chaque propriétaire voit midi à sa porte et ça n'est pas la forme qui fait le fond.
Pignon sur rue, le SecteurX priorise la sécurité et la discrétion de ses clients.
De l'extérieur il n'est donc pas possible de deviner ce qu'il se passe à l'intérieur ou bien de voir quels sont les clients - déjà nombreux - entrain de se partager une conversation, un verre, un
cul ou une belle queue.
👉 Pour entrer, il faut sonner et après que l'équipe présente ait vérifié que tout va bien, elle laisse rentrer.
Ça permet aussi de s'assurer que devant la porte, une femme n'ait pas l'idée d'entrer. Pas que l'équipe ou plus particulièrement la direction ait quelque chose à
reprocher aux femmes mais c'est juste que l'établissement ne se prête pas à la fréquentation féminine alors qu'à l'intérieur, les mecs présents sont libres de baiser où ils veulent et que
parfois, certaines pratiques se veulent être davantage comprises par la communauté gay.
👉 Une fois à l'intérieur, il faut déposer ses affaires au vestiaire.
Quoi qu'il en soit, c'est toujours un mec sexy (selon moi) qui vous accueille.
C'est ou Francis, ou Yves mais très généralement, Damien, Rafa, Mick, Tof ou Marco.
Vos affaires déposées, vous prenez votre consommation, la payez et alors vous sera remis un bracelet jaune portant le numéro de votre vestiaires.
👉 Cette étape passée, vous n'avez plus qu'à faire votre vie.
Au bar, tout un tas de mecs souvent très beaux et surtout, très sympas.
Il arrive que ça baise ici ou là, à cet étage mais c'est plus particulièrement en bas que se passe le gros de la baise.
En haut, c'est plus l'instant "repos" et convivialité.
Au SecteurX, au bar ou dans le petit fumoir, ça parle de tout, de rien, de cul, de socio, de politique, de lui, de moi et parfois de toi.
Là comme ça, je ne pourrais pas dire quelle est la superficie réservée aux consommateurs mais c'est un bar dont la surface est assez réduite, agencée sur la longueur et souvent, pour passer du point F au point G, on se frotte, se regarde et parfois lorsque l'on passe d'un point à un autre, on s'arrête, on matte, se galoche et plus. Tout ça dans une ambiance lumineuse à dominance rouge.
Sinon, le tout se pdéroule sur 3 niveaux et maintenant que vous avez eu cette brève présentation du niveau 1, je vous conseille de vite aller visiter le premier sous-sol ainsi que le deuxième.
Mais je ne vais pas vous décrire ou pas complètement les lieux, il vous faut découvrir le secteurX par vous-même.
⚠ Mais ATTENTION, il faut bien être conscient que lorsque l'on va dans ce bar, on n'y va pas comme si
c'était un bar lambda. Au secteur, ça baise pas mal et qui dit baise dit utilisation de gel lubrifiant. Au bout d'un moment, nous en avons sous la semelle de nos chaussures et à force de faire
des allers-retours entre un niveau et un autre, le carrelage est aussi lubrifié. Alors, soyez très vigilants lorsque vous descendez les escaliers, une chute est si vite
arrivée....
Malgré l'antidérapant installé à l'initiative de la direction, il arrive que l'on passe en une seule fois, d'une marche aux deux
suivantes. Et inutile d'envoyer chier l'équipe, vous voilà prévenu !!! Donc, faites attention !
Aux sous-sols, c'est assez chaud. Souvent, ça baise de partout et ce qui est top là-bas, c'est qu'il n'y a pas un style de mecs en particulier.
Il y a de tout, de tous les âges, de tous les "genres".
Dès lors que c'est dans le respect mutuel et que ça ne porte préjudice, ni aux clients, ni à l'établissement et que c'est légal, alors toutes les pratiques sont acceptées/permises.
C'est surtout de la baise à 2; 3; 4 et plus ou bien des plans uro qui s'y passent au secteurX mais parfois, il y aussi des délires kiffeurs, fist, sm...
Selon moi, il est quasiment impossible de repartir bredouille est si tant est que cela vous arrive, alors c'est que vous très très très exigeants ou bien c'est la faute de pas de chance et d'ores et déjà, je vous invite à y retourner une fois puis encore une fois et encore une fois et vous allez voir, vous aussi vous allez tomber amoureux de ce lieu qui est l'un des plus chauds de Paname.
La première fois que j'y suis allé, c'était un dimanche après avoir fouillé sur la toile et après avoir vu que ce jour là (le dimanche) c'est après-midi "Piss'in".
Assez friand des plans humides, la thématique me séduit et m'invite à y faire un tour.
Je suis arrivé aux alentours de 15h. Après avoir sonné à la porte, elle s'ouvre et là... Wahouuuuu !!! Pleins de mecs. L'établissement est blindé.
En face de moi, le physique d'un putain de beau mec me saute aux yeux.
Il n'est pas grand, les cheveux clairs, il est torse-nu, quelques tatouages, un petit harnais en cuir qui le rend encore plus sexy que ce qu'il est déjà.
Bien que ça soit ma première fois, je n'ai pas froid aux yeux et je m'étonne même d'être si à l'aise que je dépose toutes mes affaires aux vestiaires.
Je suis en survêtement et je laisse à Marco l'intégralité pour ne laisser sur moi que mes "skets", mes "cho7" et mon Jockstrap.
Une fois ma boisson en main, je me faufile entre tous ces gars qui paraissent chauds comme la braise et pendant que certains parlent de sujets on ne peut plus communs, un autre propose à ce beau mec que j'avais repéré de lui pisser dessus.
C'est bon, je suis bien au bon endroit et je crois bien qu'il va me plaire !
Au fond à gauche, je m'engage dans les escaliers pour visiter les lieux et je n'ai même pas eu le temps de parcourir un peu le premier niveau que déjà, il y a une forme d'embouteillage. La température est chaude et humide, les effluves sentent le cul (dans le bon sens du terme) et mes hormones sont aux max !
Sur ma gauche, un mec habillé en cuir à la queue bien raide et à l'air libre.
Cette bite est vraiment belle, pas énorme et bien courbée sur le haut.
Vraiment bien raide, elle m'oblige à m'arrêter, me mettre à genoux, la saisir et la sucer comme je n'ai peut-être pompé personne.
L'ambiance des lieux fait que je me lâche direct et m'installe dans un mental de salope.
En fait non, je ne suis pas en train de le pomper comme je ne l'ai jamais fais à personne, c'est le mec qui est en train de me baiser la bouche comme un dingue.
Plus de doute, le SecteurX c'est ma place !
Vraisemblablement le mec n'est pas ici depuis assez longtemps et il se stoppe avant qu'il ne soit trop tard pour lui et qu'il ne me nourrisse au jus.
Sûrement que s'il jute maintenant, ça risque de le couper et de l'empêcher de profiter encore de cette ambiance torride et de toutes ces bouches (sans parler des culs) affamées de queues bien
goutûes.
Alors il s'arrête et moi je me relève pour continuer ma visite.
Un des endroits qui me tente particulièrement, c'est la pissotière que l'on appelle aussi le mur à pisse.
C'est un mur en bas duquel une rangée de mecs sont installés pour remplacer l'usage initial de l'endroit. Toute l'idée c'est que ces salopes servent d'urinoir et c'est pas un mal. Eux, ils sont contents, les pisseurs humilient ces gars et indirectement, ça fait une économie de flotte pour l'établissement.
Puis soyons sérieux 2 secondes, c'est écologiquement bon tout ça !
De ce niveau, je passe au suivant et à celui-ci, ça baise de partout.
Mais alors, vraiment de partout ! Contrairement au niveau supérieur (cette fois-ci) c'est beaucoup plus axé touze, j'ai l'impression.
Durant cet après-midi, je vais tourner un peu partout et plusieurs fois.
Je vais m'occuper de quelques bites et attendre souvent qu'une place se libère au mur à pisse pour que, moi aussi, je puisse me faire arroser.
Malheureusement, ça ne sera pas pour cette fois.
Enfin... Comme évoqué plus haut, ça n'est pas parce que nous n'avons pas ce que nous sommes venus chercher la première fois qu'il faut rester sur une défaite.
Alors, j'y suis retourné une fois puis une deuxième, une troisième et sans que je ne m'en rende vraiment compte, je suis devenu un habitué des lieux.
En fait, ça n'est pas forcément la baise facile qui a fait que je suis souvent présent au SecteurX, c'est aussi et surtout l'accueil des patrons et de leur équipe. Puis, cette convivialité et cette facilité d'échanges intellectuels avec beaucoup des clients habitués ou non.
Sur le plan baise, j'ai vraiment eu de putains de bons coups là-bas et j'ai aussi mes petits habitués avec qui je prends toujours autant de plaisir à baiser ou plutôt, à me faire baiser.
Je ne vais citer personne pour ne pas risquer d'en oublier ou pour ne pas qu'à votre tour vous essayez de les trouver pour les essayer.
Non, non, non, je ne prends pas le risque que la place soit prise par de l'éventuelle concurrence.
Ce qui est génial aussi avec ce lieu, c'est qu'il est très fréquenté par des touristes. Par conséquent, il y a toujours du nouveau et parfois de très très très bons
coups comme ces deux Anglais sur qui j'ai flashé le 7 février 2020.
Bien que je ne parle pas un mot d'anglais, il me fallait tenter quelque chose avec eux et leur faire comprendre que j'avais envie qu'ils m'essayent.
Surtout le petit blond d'une vingtaine d'années (24 ans exactement), canon comme un dieu.
Bref... Ça s'est terminé dans une cabine et je crois que c'est la première fois depuis que je me fait prendre, que je me suis fais baiser de la sorte.
C'était bon, chaud, hard, intense... J'étais à mille-lieues d'imaginer que je pouvais encaisser comme ça et prendre autant mon pied en me faisant défoncer la rondelle.
Vraiment, je crois que ça était ma meilleure baise jusqu'à maintenant et en plus, avec deux mecs vraiment beaux.
Je suis sûr que Francis (un des patrons) et d'autres clients (dont certains devenus des potes et/ou des amis) se souviennent encore de mon état lorsque je suis remonté.
Évidemment, si je me souviens très particulièrement de ce moment, je me rappelle très bien d'autres plans aussi très chauds, très juteux, parfois humides.
Et je me rappelle très bien de ces moments où je me suis fait arroser et défoncer par deux de mes préférés au SecteurX.
Mais je vous laisse regarder la vidéo qui vous montre un petit extrait de ce qui vous attends dans ce superbe bar ou bien, comment vous pourriez m'y retrouver si toutefois vous venez le découvrir.
En tout cas, depuis le début de la crise sanitaire, c'est difficile de se passer de ce bar, de son équipe, des fous rires (et conneries à gogo) de Marco, du sourire et tendresse de Francis, de la sympathie et conseils touristiques de Yves, des sourires et de la complicité de Tof et Mick, de la beauté et la gentillesse de Damien et de l'accent sexy de Rafa.
Trop de mois sont passés sans que nous puissions nous voir, sans que je puisse m'amuser ici et là dans les recoins du secteur et sans que nous puissions avoir des conversations et des fous-rires dans le fumoir ou devant le bar avec les acolytes.
La dernière fois que j'ai pu y aller, c'était le 25 septembre. Je m'étais amusé avec deux mecs plutôt pas mal et maintenant, j'ai envie encore de réitérer.
Trop de temps est passé sans que ce bar soit fréquenté par ses clients et habité par toute la bonne humeur et la fougue (non, je n'ai pas dit "foutre").
Après une telle période, il faut soutenir un commerce comme celui-ci parce qu'il est celui qui alimente le quotidien de certains, le plaisir de beaucoup et qu'il alimente (indirectement) la Lopayop que je suis 😁.
Alors, surveillez l'actualité et foncez là-bas dès que ça sera possible.
@Lopayop
Vraiment l'équipe du SecteurX, je vous kiff !!!!
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