Samedi 9 janvier 6 09 /01 /Jan 01:34

 

Et si cette fois, je vous parlais de ma première fois avec un mec ...

 

C'est aux alentours de mes 15 ans que j'ai découvert mon attirance pour les garçons et comment l'ai-je découvert ? 


En regardant la bite d'un camarade lorsque j'étais en internat.

Si mes souvenirs sont bons, il était Guadeloupéen et s'il était encore jeune, il avait déjà une sacré bite. De lui, je m'en souviens très bien, il s'appelle Benjamin.

À cette époque, je ne savais pas trop qui j'étais et comme pour beaucoup, il me fallait entrer dans la case "normale".

Alors je m'étais mis avec une fille avec qui je suis resté environ 3 ans.
Plus tard, je vous en dirais plus mais cette fois, je vais rester sur ma lancée de ma première fois alors que j'avais 17 ans.

 

De retour chez mes parents, notre père prépare une surprise à mes frères, mes soeurs et moi. Il organise une journée à Disneyland Paris.

Ayant prévu que nous pique-niquions, la veille, il nous a fallu aller faire quelques achats pour préparer la journée.

Arrivé au magasin, nous croisons un "vieil ami". 
Lui a 15 ans et avant nous étions très très proches, lui, son frère jumeaux, leur voisine et moi. Nous étions presque des inséparables et tous les jours, nous trouvions de quoi nous amuser.

Sa famille était la mienne, ma famille secondaire, avec qui j'aimais passer mes journées, mes soirées, mes week-ends et moments de fêtes.

Plus tard, sans trop connaître la raison, nous nous sommes éloignés, perdus de vue et allons jusqu'à ne plus nous donner de nouvelle.

Alors, de le croiser ici dans le magasin me rends heureux et il me tarde déjà de renouer contact. 
Nos parents respectifs se saluent, nous en faisons de même et étonnamment, mon père propose à cet ami de venir avec nous demain au parc d'attractions.

Heureux, il laisse ses parents pour nous accompagner dans les rayons du magasin puis, chez mes parents pour y passer la nuit avant notre départ à l'aventure.

Il doit être environ 18h, nous avons encore du temps devant nous avant de passer à table et maintenant que nous venons de nous retrouver, il nous faut nous raconter ce temps perdu.
Alors je propose à mon ami d'aller nous balader dans la rue. Sur le chemin, je lui demande ce qu'il devient et avec humour, s'il est marié, s'il a des enfants, etc.

Du tac-o-tac, il me répond que non, il n'a pas d'évolution en ce sens mais qu'en revanche, il a couché avec un mec.


Je reste bouche bée !


Quoi ? Tu as couché avec un mec??? 

À cet instant, je suis à la fois choqué, curieux et surtout déstabilisé.

Si je me souviens avoir maté la bite de mon pote sous la douche à l'internat, je suis à cent lieues d'imaginer une quelconque attirance pour les mecs et ça me parait même anormal.

Pour autant, paradoxalement j'oriente la suite de mes questions sur ce propos. Je lui demande comment s'était, comme ça s'est passé, qu'est-ce que ça fait.

Lui me répond avec un naturel et une aisance remarquable alors qu'il n'a que 15 ans.


Avec le recul, rien ne m'étonne, il s'est toujours affirmé et a toujours su s'imposer ou imposer ses idées.


Il me répond que c'était avec un "black" (ce sont ses mots de l'époque), que c'était bien puis... il passe à être chose.

En revanche - moi - je n'arrive pas à décrocher de cette nouvelle qui est tombée là comme un cheveu sur la soupe.
Alors je reste bloqué et je continue de lui poser des questions qu'il va finir par esquiver. 
Trouvant ça normal de coucher avec un mec, sinon d'expérimenté dans ce domaine, il ne voit pas l'intérêt continuer à parler de ça et tente de dévier vers d'autres sujets de conversation.

Sur notre chemin un tunnel permettant de passer sous la route pour aller de la rue sur laquelle nous sommes à son parallèle.

Allez savoir pourquoi, j'ai toujours en tête cette relation homosexuelle et je me mets à bander à imaginant bien des choses en passant dans cette galerie urbaine.

Notre balade terminée, nous rentrons chez mes parents, passons à table et terminons notre soirée dans ma chambre.

Impatients d'être demain et ayant beaucoup de choses à nous raconter encore, nous n'arrivons pas à dormir.

Au moment où j'écris ce récit, je ne suis - en revanche - pas en mesure de vous dire ce que nous avons fait pour passer le temps, je ne me rappelle pas sauf...


Sauf cet instant où est arrivé un petit jeu de questions.

 

Il est tard maintenant et je n'arrive absolument pas à m'enlever de la tête cette annonce qu'il m'a fait spontanément cet après-midi.

Pour faciliter la chose, je propose à mon ami un petit jeu que j'appelle, le jeu des questions.

La règle est simple, nous nous fixons un temps sur lequel chacun des joueurs pourrons poser des questions sur une feuille afin que la personne concernée puisse y répondre plus aisément que si c'était à l'oral.


Je crois que c'est reconnu que l'écrit permet plus facilement de se confier.


Il accepte et nous voilà tous les deux en train d'écrire nos questions pour l'autres puis, une fois l'alarme retentissante, nous passons la feuille à l'autre pour qu'il puisse écrire ses réponses à la suite.

Au début, nous y allons timidement et posons des questions soft, pour ne pas dire connes.

Et rapidement, nous y allons crescendo. Les questions dévient ENFIN sur la sexualité et les miennes sur l'homosexualité.

Sans broncher, il me répond et en lisant son retour, je me mets à bander.


En fait, je crois que moi aussi j'ai envie d'essayer !


Arrive cette question qui va tout changer dans ma vie.

"Est-ce que tu aurais envie d'essayer avec moi ?"


Mes yeux d'adolescent lise cette réponse simple et efficace.


"Oui"


La suite, je ne m'en souviens pas trop, enfin... Si, je me souviens parfaitement d'une partie. En revanche, je suis incapable de dire comment s'est venu. 

Avons-nous continué à nous poser questions ou bien sommes-nous passés directement au concret, je ne sais plus. 

Je n'ai pas le souvenir de s'être déshabillé sauvagement comme si nous attendions vraiment que ça.

Non, il me semble que ça s'est déroulé avec beaucoup de délicatesse, beaucoup de tendresse, de complicité et beaucoup de respect.

Ce moment était un peu comme magique.

Et si je ne me rappelle pas de l'évolution entre le temps où j'ai posé cette fameuse question et celui où j'ai découvert sa queue, je me souviens très bien que cette tige est l'une des meilleures que j'ai pu déguster depuis cette première fois.

Par pudeur probablement, nous sommes tous les deux dans le noir, allongés sur mon lit.

Ce dernier étant un lit une place, nous sommes plus étroitement collés l'un à l'autre que si j'avais eu la chance d'avoir un mobilier plus grand.

Nous nous embrassons mais nous ne nous roulons pas de pelles.
Vraiment, nous sommes à la fois dans la découverte, le respect et la pudeur.

Pour lui ça n'est que sa deuxième expérience avec un gars et pour moi, la première alors allons-y doucement mais sûrement.

Sans lumière, mes mains découvrent son corps et les siennes découvrent le miens.

Nous devinons les formes de l'un et de l'autre et je dois avouer que ça fait bizarre mais en même temps, c'est tellement bon ! Tellement agréable, curieux et excitant.

Ma main gauche est posée derrière la tête de mon ami pendant que ma main droite le caresse. Elle lui caresse le visage puis le torse et le ventre.

Dans le noir tous les sens sont décuplés et même ces cheveux un peu long est dorés, me procurent une sensation de dingue. Si je ne peux pas les voir, je visualise ce que je sais de mon ami et mes yeux fermés, je redécouvre encore dans ma tête celui que j'ai retrouvé toute à l'heure.

En évasion psychique, ma main droite s'évade, elle aussi, et la voilà posée sur cette bite.

Que dis-je.... Cette ÉNORME BITE !


Si le fait de ne pas voir ce à quoi j'ai à faire et que ça peut induire en erreur, il n'y a aucun doute sur la taille de cette queue. Et ça n'est pas non plus par manque d'expérience que j'ai cette sensation.

Ce gars est un étalon, un vrai !

Mes doigts se resserrant pour bien la saisir et se mettre à la branler, ils n'arrivent quasiment pas à faire le tour du chibre.

Tout en l'embrassant sur les lèvres puis sur le corps, je me mets à faire les mouvements de va et viens avec ma main avant d'orienter doucement ma tête vers cette zone qui m'attire.

Tout en le caressant, en l'embrassant, je parcours ce corps de jeune homme et j'aime ce qui est en train de se passer.

Après avoir découvert ses formes avec mes doigts, c'est avec ma bouche que je découvre son torse, ses tétons, son nombril et avant que mes lèvres ne se posent sur ce gland, c'est mon nez qui se positionne pour sentir ce que je m'apprête de déguster.

Je suis aussi surpris qu'attirer par cette bite, sa douceur, sa subtilité et sa taille.

Délicatement, mes lèvres se posent sur le gland, ma mâchoire se détend et ma bouche englobe la tige de mon ami.

Pour la toute première fois, me voilà en train de sucer !

Du haut du phallus, je m'oriente vers sa base et de sa base, je vais vers le gland.

Ma tête fait le yoyo sur cette queue et si ça aurait pu me dégoûter, il n'en est rien. Je prends du plaisir à pomper cette bite et lui, il a l'air d'apprécier ma bouche chaude est humide qui salive sur sa queue et qui la fait glisser avec entrain. 

Parce que ce moment est également sur le rythme de la sensualité, je me dessaisis de cette queue, lâche le morceau et remonte du chibre vers la bouche du blondinet, tout en prenant soin et plaisir de caresser son corps et parcourir sa peau avec ma langue.

Mes lèvres se posent sur les siennes nous nous embrassons et inversons la position de nos corps.

Si jusqu'à là, il était sur le dos et moi à moitié sur lui, voilà que désormais c'est le contraire.

Forcément, un tel mec, une telle queue et un instant comme celui-ci, provoquent chez moi une excitation sans précédent et une gaule qui rend ma queue tellement raide que je pourrais presque penser qu'elle va finir par éclater.

À son tour, il descend sur mon corps et le découvre à l'aveugle.

Sa main est posée sur mon chibre et de ses cinq doigts, il me sert la queue fermement pour la branler et m'exciter plus que je ne le suis déjà.

Comme la pluspart des mecs de mon âge, j'avais déjà expérimenté la branlette et si bien entendu je me suis toujours fais plaisir, cette fois la branle prend tout un autre sens, transmet une toute autre sensation et j'aime ça.

Ses phalanges laissent place à sa bouche, sa chaleur, son humidité et tout ce qu'elle va me procurer en se posant sur mon gland avant de parcourir c'est quelques centimètres qui séparent l'extrémité à la base.


Wahouuuu, c'est SENSATIONNEL ! 


En plus d'avoir une queue divine, il a une bouche d'enfer. 

Sur cet instant, je crois bien prendre autant de plaisir à me faire pomper le dard que de pomper le sien.

Aucune notion du temps et je crois bien que je n'ai pas envie que ce moment connaisse une fin pourtant, il va bien falloir.

D'abord parce que je ne suis plus très loin de l'éjaculation mais aussi parce que quitte à avoir une première expérience avec un garçon, autant là pousser jusqu'au bout et c'est maintenant une occasion "rêvée" pour connaître le goût que peut avoir le sperme.

M'ayant offert autant de plaisir et de sensation, à son tour il reprend le chemin de mes lèvres.
Après quelques baisers, quelques caresses et autre gestes d'affections, il me tarde déjà de retourner goûter à cette bite, la prendre en bouche et le sucer jusqu'à ne plus en finir.

Je m'attèle à ce plaisir charnel. D'en bas, je ressens le rythme cardiaque de mon partenaire en train de s'accèlerer, son souffle s'intensifie et il se met à gesticuler plus de plus en plus.

Le bas de son corps se relève légère puis redescend. 
Mon étalon pousse sur ses jambes, relâche la pression et exprime quelques bruitages.

Sans qu'il ait besoin de me le dire, je sais qu'il va cracher et sa queue offerte à ma bouche, je n'ai pas envie de m'arrêter.

Je n'ai pas envie de passer à côté d'une telle opportunité, je n'ai pas envie de m'arrêter au risque d'être frustré par la suite de ne pas être allé au bout et de ne pas avoir pu goûter à ce nectar masculin.

Alors je continue, je le branle de plus en plus fort et j'accentue mes mouvements de tête du haut vers le bas et du bas vers le haut en excerçant une pression plus certaine sur cette queue qui occupe bien ma main et qui commence même à me provoquer une légère douleur à la mâchoire tellement il me faut l'ouvrir pour bien l'engloutir.

Soudainement, s'écrase sur la langue chaude est excitée, une texture lourde, sucrée et abondante.


Il est en train de m'éjaculer dans la bouche.


Est-ce parce qu'il a une très grosse bite qu'il a autant de jus, je ne sais pas.
Peut-être aussi que c'est ma première fois qui me donne ce sentiment qu'il ne s'arrête plus de jouir et que ma bouche se remplie de plus en plus.

Mais non, en fait il est vraiment un très bon producteur de sauce !

Sa jute est bien posée en moi, bien installée sur ma langue et à peine ce sperme caressant mes papilles, que je découvre ses premières saveurs.


Il faut le dire, c'est particiculier mais pas mauvais.


Je ne dirais pas que j'en prendrais tous les matins au petit déjeuner mais je suis bien content d'y avoir goûté et je ne pourrais jamais dire que je n'ai pas essayé au moins une fois avec un gars.

Agréablement épuisés par ce moment intime passé tous les deux, nous finissons par nous endormir.
Moi dans mon lit et lui, sur le matelas que nous avions posé au sol.

Hors de question de dormir ensemble pour deux raisons.

D'abord, je ne suis pas "pd" et ensuite, il ne faudrait pas que mes parents nous découvrent dans le même lit lorsqu'ils vont venir nous réveiller dans quelques heures.


Après cette fin d'après-midi, cette nuit et la journée que nous avons passé ensemble avec ma famille, mon ami et moi avions décidé de ne plus nous perdre de vue, de rester en contact et d'essayer de nous revoir aussi vite que possible.

Un, deux ou peut-être trois mois après, je suis allé lui rendre visite et pour nous occuper, nous sommes allés nous promener dans les bois au bout de sa rue.

Sur le chemin, nous avons parlé de tout, de rien et de cette nuit où nous avions fait l'amour.
De se remémorer ce moment nous a donné envie de recommencer mais cette fois, c'est dans la forêt que ça s'est passé et surtout, c'est essentiellement moi qui l'ai pompé.

Parce qu'il me fallait me confirmer que j'avais aimé son jus, de nouveau je l'ai pompé jusqu'au bout et vraiment, le goût de son nectar n'est pas désagréable.

Est-ce que toutes les queues ont le même goût ?
Est-ce que tous les jus ont la même saveurs ?

Sur le moment, j'ai bien dû me poser la question mais je pensai ne jamais découvrir la réponse.

À cette époque, j'étais bien loin d'imaginer la Lopayop que je suis devenu.

 

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Par lopayop
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Commentaires

Voilà ! Ça, c'est super bandant ^^
commentaire n° :1 posté par : Nicolas le: 09/01/2021 à 18h21

Merci beaucoup !!!!! 😁

réponse de : lopayop le: 10/01/2021 à 11h35

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