👨‍🦰 Les rouquins font partie de mon péché mignon et ça tombe bien, c'est notamment ce que j'ai réussi à dégoter aujourd'hui sur le lieu de drague que je fréquente.

13h50, j'arrive sur le parking et j'observe quasiment aucune voiture dans les parages.
En même temps, il fait froid et il ne fait pas beau donc rien de très étonnant.

Si j'ai très envie de bites, je crains qu'aujourd'hui ne sois pas la journée où je vais trouver satisfaction.

Rien ne sert d'aller voir ce qu'il se passe dans les bois, je suis convaincu de ne trouver personne ou bien, de trouver des personnes qui ne me tentent pas.

Comme à mon habitude, je reste donc au chaud dans ma voiture et je traîne pour voir ce qui se passe sur les applications.

Aux alentours...pas grand-chose sauf un gars qui attire mon attention et pour cause, j'ai bien l'impression qu'il n'est pas loin.

Je commence par lui envoyer un signal auquel il me répond :

"Merci mais je ne pratique pas le BBk"

Merde, ça commence mal et même s'il vient de me rembarrer, il ne me faut pas lâcher l'affaire et lui apporter à mon tour une réponse que voici :

- En même temps, je ne t'ai rien proposé encore ! lol
Et ça veut dire aussi que tu ne suces pas ou ne te fais pas sucer sans capote ?

- Je me fais sucer sans capote mais je ne baise pas sans !

- Donc si tu te fais pomper sans capote, c'est que tu pratiques le BBK. 
Et now, tu as envie de te faire pomper au jus ?

- Ouais...

La conversation est bien entamée et finalement elle s'annonce plutôt bien.

Avant d'aller plus loin, je lui demande quelques photos supplémentaires et que m'envoie-t-il .... ?

Des photos de sa queue qui me paraît bien appétissante et même si les poils autour sont rasés, on aperçoit quelques restes roux. J'adore !!!

Toujours dans ma voiture, me voilà en train de bander et en train d'imaginer cette superbe bite dans ma bouche de Lopayop.

Alors je lui propose que nous trouvions un endroit tranquille pour que je puisse le pomper jusqu'au jus.

Après qu'il ait accepté, le voilà sorti de sa voiture, moi de la mienne en train de suivre ses pas.

Plus haut, nous nous extrayons de l'allée principale et trouvons un coin tranquille.

Lui est habillé de manière assez sombre avec un pantalon de type treillis à la militaire.

Moi, je suis comme d'habitude lorsque je sors baiser, avec mon survêt style militaire aussi.

Nous sommes dehors et il doit faire aux alentours des 3° alors il ne faut pas perdre de temps, même si sa queue sera bien au chaud dans ma bouche.

Ma main se pose sur son paquet et déjà le mec bande comme un "taré".
Pressé, il se dépêche d'ouvrir sa braguette, défaire son bouton et sortir cette superbe bite, aussi belle en vrai qu'en photo.

Très rapidement, je suis accroupi devant ce beau rouquin et cette bite qui me donne tant envie, puis je la saisi d'abord avec mes mains et amène ma bouche à bite sur cette queue.

Elle est aussi bonne que je l'imaginai et je prends beaucoup de plaisir à la sucer.

Ça glisse bien et mes yeux face à ces quelques courts poils roux, ça me donne une gaule de ouf mais il ne faut pas que je me branle sinon, je risque de juter vite.

Le type pose sa main gauche, gantée, sur l'arrière de ma tête et rythme mes mouvements pour que je continue de le sucer comme il le veut.

Pour finir, il saisi sa belle bite et se met à la branler comme il doit avoir l'habitude de faire.
Je ne crois pas qu'il passe de ma bouche chaude à sa main expérimentée parce que je suce mal mais juste qu'il a envie de cracher.

Regardant ses mouvements rapides, j'ouvre grand la bouche et je sors ma langue pour être sûr que la sauce se pose sur cette dernière et que je puisse déguster son jus.

Les mouvements ralentissent et en général, c'est que le jus arrive.

Ma lèvre supérieure est bien levée et ma langue se cale sous le gland du bonhomme.

C'est une sauce relativement liquide qui jailli de l'urètre et qui se déverse dans ma bouche.

Le goût est très appréciable et il donne l'impression que ce sperme est en réalité un mélange de foutre et de pisse.
La texture me donne cette même impression.

Quoi qu'il en soit, je savoure et avale cette sauce humaine que j'aime tant.

Lui est vide est moi, je viens de prendre mon goûter, nous pouvons chacun repartir de notre côté.

Je fais un bref tour dans les bois avant de retourner à ma voiture.

Au loin, un mec nuancé que j'avais repéré plus tôt mais avec le masque, je ne sais trop à quoi il ressemble.
Ce dernier s'arrête face à un type qui à l'air de se branler.

Peut-être que le plus raisonnable est de passer à côté et voir s'il va se passer quelque chose, s'ils sont susceptibles de me plaire et si moi, je pourrais aussi leur correspondre.

Plus je m'approche, plus j'arrive à deviner un des deux gars.

C'est un habitué et avec lui, rien est possible.

D'abord parce qu'il ne bande jamais et c'est bien dommage pour lui parce qu'il a une très belle bite mais surtout, entre lui et moi ça n'est pas possible parce que son odeur me donne la gerbe.

Il ne me semble pas que ça soit un SDF mais juste un mec qui n'a pas d'hygiène ou bien qui à une odeur corporelle qui ne peut pas me donner l'envie de lui.

Pour vous dire, parfois sans même l'avoir vu dans le bois, on sait qu'il est dans les parages, pourtant nous sommes en extérieur.

Rarement (heureusement les autres et pour moi) il va au secteur x

(*) Le secteurX est un petit bar sur Paris, dans le marais. Sur 3 étages, c'est un établissement très convivial dans lequel nous prenons autant de plaisir à discuter avec les équipes que les clients de l'établissement.

En bas, au 1er et deuxième sous-sol, c'est davantage destiné à la baise.
Dans ces espaces c'est une autre forme de convivialité et c'est assez chaud.

Le seul bémol, c'est justement quand un type comme celui que je viens de croiser au bois s'y balade est laisse son odeur se rependre.
Enfin.. Certains aiment peut-être et il est possible aussi que ça soit mon nez qui ne soit pas adapté aux effluves de ce mec.

Enfin... du coup je continue de tracer pour retourner à ma voiture.

Depuis toute à l'heure, c'est un gars d'au moins 75 ans qui me suit et à chaque fois c'est la même. Il sait pourtant que je ne vais pas m'arrêter à lui et qu'il ne va rien se passer.

La seule fois où je lui ai adressé la parole c'est pour lui répondre lorsqu'il m'a demandé de l'aider à remettre le son sur son téléphone.

C'était une fausse excuse pour entamer la discute et probablement tenter plus mais je ne suis pas tombé dans le panneau.

Tant pis, aujourd'hui ça ne sera qu'une dose dans ma gueule.

Aller... il fait froid, il faut que je me dépêche à retourner au chaud dans ma voiture.

Sur le chemin, je discute avec un mec que j'ai eu l'occasion de sucer et dont sa superbe bite s'est occupée de mon cul à jus jusqu'à le doser.

Par message, il me dit que mon cul est fait pour accueillir du jus et qu'il me faut trouver un mec pour bien me remplir.

Entre ce gars et moi, ça colle pas mal.
Nous avons les mêmes délires et il sait me parler.

Maintenant je suis encore plus excité et du coup frustré.

Je relève la tête de temps en temps pour regarder devant moi, où je marche et tenter de ne pas me casser la gueule.

Passe un gars qui n'a l'air ni beau, ni moche mais comme il est un peu loin, je ne peux m'assurer de rien.

Alors je vais dans sa direction. Après l'avoir croisé, je confirme qu'il n'est pas beau mais pas assez moche (par rapport à mes goûts) pour ne pas me baiser.

Je m'arrête sous un arbuste assez bien taillé et avec pas mal de place en dessous pour pouvoir se faire baiser.

Mon pantalon, je le passe sous mon cul pour ne pas perdre de temps et faire comprendre au type que c'est ce qui m'intéresse.

Il arrive derrière moi et commence à me caresser les "pommes".

Sur notre gauche, au loin, l'homme que l'on ne peut pas louper vu qu'il a son blouson rouge pétant, cet homme qui doit avoisiner les 75 ans. J'espère qu'il ne va pas venir et tenter de se taper l'incruste, au risque de faire partir celui qui s'apprête à me baiser.

Le mec - lui - n'arrête pas de me caresser et maintenant, j'aimerais qu'il passe à l'étape supérieure et qui me la mette bien au fond.

Dans ma poche droite, je choppe le gel et commence à me tartiner l'entrée du garage à bites.
Je me prends un peu de Poppers et me voilà paré à encaisser de la queue.

Enfin, il finit par comprendre et probablement qu'il a mis autant de temps à venir sur mon trou parce qu'il avait besoin de s'exciter et de bien bander.

Enfin, il est en train de me ramoner et je ne sais pas pourquoi, je suis obligé de lui demander de ressortir pour remettre du gel.

Pourtant, il ne m'a pas trop caressé la chatte après qu'elle ait été lubrifiée, alors je ne saisis pas bien pourquoi ça me paraît déjà sec.

Il y retourne et là, ça glisse bien.
Mais j'apprécie ce ramonage, quelque chose me dérange. Je ne sais pas bien quoi.
De nouveau, cette sensation de me faire baiser à sec mais cette fois j'essaie de tenir et ayant mon téléphone dans les mains pour filmer, je suis content de la prise de vue alors....

Tout en profitant de ces coups de bite, je profite des images et imagine déjà la vidéo que je vais pouvoir diffuser.

D'un seul coup, me voilà vénère !!!!

Que vois-je ? 

Sur la base de la queue du type, un cerclage jaune-orangé !

Et oui, le mec porte une capote ! 

Je suis dégoûté ! Ça n'est pas avec une capote que le mec va me doser le trou !

Alors oui, c'est super bien pour lui, le mec se protège et il a raison de le faire.
Mais perso (et ma position ne regarde que moi et ceux qui acceptent de me baiser ainsi) je suis exclusivement BBK !

Alors direct, je m'avance pour que cette bite sorte de mon trou, je me rhabille et me casse.

Je comprends mieux pourquoi c'était aussi sec et pourquoi je ne prenais pas mon pied comme d'habitude (ou presque) dès lors que j'ai une bite en moi.

Au moment où le mec remonte son pantalon, je constate qu'en plus il garde la capote sur sa queue et ça, c'est quelque chose qui m'énerve vraiment !

S'il se protège, il en a rien à foutre des autres. Il fait croire aux adeptes qu'il a une capote mais il ne précise pas qu'avec ce même plastique, il fait de cul en cul.

Bref... Je suis dégoûté et même si j'ai eu au moins quelques coups de bites, je n'ai pas eu de jus.

Tant pis, maintenant je dois rentrer.

Demain, je reprends le travail alors ma prochaine chasse sera que dimanche et j'espère qu'elle sera juteuse.

@Lopayop 

Il m'a dit s'appeller Mamadou.
Il a 22 ans, il est originaire du Mali.

La première fois que nous avons parlé ensemble c'était le 7 octobre 2020 via un réseau social.

Son approche était directe, le mec me demandait si je voulais le sucer.

Quelle question ! Évidémment que j'ai envie de le pomper.

Depuis, le temps faisant, nous n'avions pas eu le temps de nous voir et ce matin, dimanche 3 janvier 2021, il est revenu me parler.

Après lui avoir dit que j'étais dispo, il a de suite pris ses dispositions, quitté l'endroit où il était et a pris les transports pour venir à ma rencontre.

Je n'ai pas eu le temps de dire "Ouf" qu'il était déjà à la gare mais moi, j'étais sous la douche et je ne voyais pas ses messages.

Une fois sortie de l'arrosage corporel, je lis les messages et là, je constate qu'il était arrivé mais surtout qu'il était reparti.

Je suis dégoûté ! D'abord parce que ça signifie que je ne vais pas pouvoir le pomper mais aussi parce qu'il aura fait le chemin pour rien et va probablement penser que je suis un mytho.

Même si ça ne va possiblement pas changer grand-chose, je tente quand même une réponse et je lui explique que j'étais en train de me laver.

Après quelques phrases en "ping-pong" il me propose de faire demi-tour.

Putain ! Le mec est cool et motivé !

Après avoir accepté, je me dépêche de finir de me préparer.

C'est bon, je suis en route et dans quelques minutes, je m'apprête à retrouver l'étalon.

Arrivé à la gare, nous essayons de nous retrouver mais la communication paraît difficile entre nous.

Nous n'arrivons pas à se faire comprendre quant à l'endroit où nous nous trouvons. Lui est d'un côté de la gare et moi de l'autre.

Une dizaine de minutes s'est écoulée et enfin, il arrive à ma voiture, monte et tous deux, partons en direction d'un coin tranquille pour que je puisse m'occuper pleinement de son chibre, lui de ma bouche et me fourrer dans le gosier son nectar.

Le plus simple est d'aller sur le lieu de drague où je traine souvent.

Nous voilà en route et.... DANS LES BOUCHONS !!!! 😡😡😡 La poisse !

Ceci dit, les bouchons me laissent le temps de poser ma main droite par-dessus le jogging de l'étalon et de tâter sa tige qui est déjà en train de durcir.
Elle a l'air pas mal du tout et j'ai vraiment hâte de la découvrir.

J'essaie de passer ma main sous son survêt mais avec la ceinture de sécurité ça n'est pas évident et est-ce par timidité ou pas, je ne sais pas mais il ne m'aide pas beaucoup.

Enfin j'y arrive et sous mes doigts, cette bite bien dure et douce que je ne vais plus tarder à déguster.

Nous arrivons sur le lieu de drague, il descend de la voiture pour que je puisse me garer et une fois fait, j'en fais de même après avoir pris le temps de récupérer mon Poppers et mon gel au cas où il aurait finalement envie de me visiter la cuve.

À peine nous commençons à marcher que, derrière, arrivent deux habitués des lieux, des potes.
Je salue furtivement et j'espère qu'ils ne vont pas vouloir me causer et par conséquent, retarder mon rencard.

Après avoir fait un signe, l'étalon et moi continuons d'avancer sur environ 300 mètres.
Nous tournons à droite, prenons la petite allée dessinées par les pas de ceux qui fréquentent les lieux, enjambons l'arbre tombé en travers et nous enfonçons un peu plus loin pour être à l'abri des regards et ne pas êtres dérangés.

Le jeune mec qui m'accompagne n'a pas l'air totalement à l'aise à l'idée de faire ça ici en pleine nature et c'est à moi de changer la donne.

Face à lui, j'ai ma main droite qui me branle la queue sortie de mon pantalon et ma main gauche qui commence à caresser la sienne.

La bite de Mamadou est en train de gonfler et enfin il se décide de la sortir pour me la présenter et que je puisse m'en occuper.

Il cherchait une bonne chienne, je crois bien qu'il en a trouvé une et je compte bien faire en sorte qui ne regrette pas cette escapade.

Cette tige est superbe ! Elle n'est pas trop grosse et loin d'être petite.
Elle est bien douce, une peau brillante, circoncis et appelle les bouches de *putes à jus comme moi à s'en saisir pour la faire cracher.

Dans ma poche, je choppe mon téléphone pour l'activer en mode vidéo et commencer à filmer la scène.
Je me penche, ouvre ma bouche de salope et pose mes lèvres sur cette superbe bite.

C'est aux mouvements de ma tête de faire le reste du travail. De faire des allers-retours pour caresser cette bite et bien l'humidifier avec ma salive abondante.

Au fur et à mesure, je passe de cette position à celle où je suis accroupi devant le mâle et tout en suçant cette queue, je le regarde avec mes yeux de Lopayop. 
Lui, est plus occupé à observer ce qui se passe autour et à s'assurer que personne n'arrive plutôt que de la manière dont je suis en train de m'occuper de sa tige quand finalement, il se met à faire de petits bruits, à passer sa main gauche derrière ma tête et la pousser pour que je fasse un bon fond de gorge.

Si ça n'est franchement pas ce que je préfère, cette fois sa tige entre bien au fond et j'arrive à faire ce qu'il attend sans trop de difficulté.

D'ailleurs, c'est par ce biais que je constate qu'en fait le chibre de l'étalon est légèrement courbé, prenant un virage à gauche.

Courbée ou pas, cette queue est vraiment une putain de délice et je prends un plaisir de dingue à la pomper.
Sa douceur est vraiment agréable en bouche et sa peau est telle que ça glisse tout seul.

Après une bonne session de suce, il est temps pour le jeune mec de lâcher son jus et sachant que celui-ci ne va pas tarder à jaillir, je garde bien ma bouche ouverte face à ce gland un peu rosé pour que le foutre se dépose sur ma langue gourmande et émoustille mes papilles.

C'est le moment fatidique ! Il jute et la sauce s'écrase dans ma bouche.

La dose dans ma cavité buccale, j'écrasse le sperme sur mon palais pour profiter de toutes ses saveurs.

Mais si la queue était vraiment délicieuse, son jus, quant à lui, était très amer.

Enfin il était bon quand même, hein ! Et je ne vais pas me plaindre, cette première dose est ma première de l'année 2021.

Bien que Mamadou ait juté, je n'arrive pas à m'arrêter de le sucer et lui, ça n'a pas l'air de le déranger mais à un moment, il faut savoir stopper et toutes bonnes choses ont une fin.

Pendant toute la séance de pompe j'étais en train de me branler et j'ai d'ailleurs failli cracher plusieurs fois mais heureusement, j'ai réussi à me retenir.

Maintenant, je remballe mon matériel et l'étalon à l'air d'en faire autant mais finalement, il se décale et je le vois se concentrer.

Immédiatement, je comprends qu'il a envie de pisser alors je me rapproche et je lui demande si c'est bien ça.

Sa réponse est positive et elle mérite une nouvelle proposition de ma part.

Je lui demande s'il veut que je mette ma bouche dessous.

Il me répond : "Si tu veux" 

Bien sûr que je veux et à peine le premier jet que la langue réceptionne cette pisse bien dorée.

C'est pas souvent que je le dis mais là, elle est vraiment trop bonne ! Bien chaude (bon ça, c'est normal) et bien goûteuse.
Après sa sauce, c'est son urine qui est en train de me procurer une putain de plaisir.

Après la première dose de l'année 2021, voilà ma première pisse dans la gueule de salope que je suis.

Cette fois c'est vraiment fini, il remballe et nous nous remettons sur le chemin pour regagner la voiture et que je le dépose à la gare.

Sur la route du retour j'essaie d'avoir un peu de dialogue mais mon accompagnant n'est pas très bavard et paraît assez timide.
Enfin... j'ai eu sa queue et lui ma bouche donc nous sommes tous les deux contents.

Voilà... il est déposé et moi je suis encore chaud alors je vais retourner sur le lieu de drague au cas où j'y trouve de nouvelles queues.

Ce qui est cool c'est que j'ai un bon souvenir de ce moment sur :

👉 https://mym.fans/lopayop 

Malheureusement, ni dans les bois, ni sur les applications je vais trouver mon bonheur.

Après avoir passé une bonne heure et demie dans ma voiture et maintenant que la nuit est en train de tomber, je décide de regarder sur mon gps combien de temps il m'annonce pour aller au jardin des Tuilleries (Paris - Louvre).

33 minutes ! 35 minutes étant le maximum que je suis prêt à faire now, je me décide d'aller y faire un petit tour. 

En général, là-bas, ça baise bien mais aujourd'hui il caille un peu donc est-ce que ça va être le cas.. ?

Arrivé sur place, je vois que ça grouille pas mal alors je m'empresse d'aller sur le lieu de drague et de descendre à l'un des escaliers.

Aujourd'hui, l'odeur en bas et largement supportable.

Il y a bien des mecs mais comme il fait nuit, on ne voit pas qui ressemble à quoi.

Ça n'est pas grave, je ne suis pas ici pour me taper des tops modèles mais pour me prendre des queues et me faire doser.

Certains me touchent la croupe mais n'agissent pas.
Pour montrer à d'autres, je tâte leur entre-jambe, souvent ils ont la queue sortie mais elle ne bande pas.

Pfff... Rien d'intéressant sauf...

Sauf ce mec qui est en train de se shooter au Poppers, qui - à en croire son comportement - à l'air perché et qui tends également son cul.
Une brève percée de lumière me permet de constater que ce mec à l'air beau gosse et si ça tourne autant sans agir, alors je n'ai pas envie de rester trop longtemps à me geler les miches.
Je touche le cul de ce mec, passe mes doigts sur sa chatte et constate à la fois que son cul à déjà du bien servir mais en plus, qu'il est très accueillant.

Bon.. Je ne vais pas passer à côté et à défaut de me faire défoncer et bien je vais m'occuper de lui et lui remplir la cuve.

Ma queue bien bandante et moi, chaud comme la braise, me voilà en train d'enculer ce gars chaud comme la braise.

Souvent, lorsque je suis actif, je ne suis pas très endurant mais cette fois, je tiens bien et son cul est un vrai bonheur.

💦 Ça glisse bien et je patauge dans le jus, ça se sent. 💦

Wahouuuuu c'est trop bon ! Tellement bien que me voilà entrain de lâcher la cargaison de jus dans ses entrailles. 

C'est bon, je peux repartir !

Une clope au bec et en chemin pour aller à mon véhicule, un beau mec m'aborde pour me taxer.
Il est beau, grand et un putain de sourire. 

Un gars nuancé que je viderais bien.

En général, une fois que j'ai craché je ne suis plus chaud du tout mais après avoir croisé ce type, je ne peux finalement par repartir alors je décide de trainer encore un peu, qui sait....

Je tourne, passe d'une allée à une autre, reviens sur mes pas et fini par redescendre.

J'ai de nouveau envie de me faire baiser et j'espère que cette fois sera la bonne.

Rien de n'annonce de bien jusqu'à ce qu'un petit mec se pose à côté de moi. 

De prime abord, je dirais que c'est un asiatique et je kiff les asiatiques.
Je kiff aussi les petits et lui, il l'est ! 😁😁😁

Ma main se pose sur sa queue, il la déballe et la pose entre mes doigts mais il ne bande pas bien.
Tant pis, il faut jouer le tout pour le tout et tenter de la faire gonfler avec ma bouche à jus.

Me voilà en train de le sucer et mon plan fonctionne, sa queue est désormais bien dure.

Si j'aime pomper, cette fois ce dont j'ai envie c'est de me faire baiser.
Je me redresse et lui présente mon trou à bite.

Merde ! Ça n'est pas ce qui l'intéresse a priori.

Tant pis, en attendant de mieux, je continue à appliquer mes lèvres sur sa queue et qui sait, ça pourrait en motiver d'autre à me prendre pendant ce temps-là.
Pour augmenter mes chances, pendant que je suce, j'ai mon pantalon sous mes genoux et mon cul bien tendu.

À côté, s'installe un autre mec qui lui, à l'air aussi jeune et je dirais...latino.
Je commence également à le toucher, il sort sa queue et lui non plus de bande pas.
Je veux de la bite alors il me faut charbonner et réussir à faire gonfler cette nouvelle bite qui s'offre à moi.

Comme l'autre, je commence à le sucer et enfin il se met à bander.

Puis, il me retourne et se met à me baiser

C'est trop, trop, trop bon !!!!!

Sa queue n'est pas large, elle n'est pas grande mais pas petite non plus et il a le gland "pointu". C'est la queue parfaite pour une première de la journée et pour préparer mon trou à accueillir d'autres tiges.

Après bien des allers-retours, il ralentit et fait un arrêt.
Je crois bien qu'il est en train de me doser, en tout cas je l'espère.

Il se retire et se casse.

Celui que je pense asiatique me retourne et alors que je croyais qu'il ne voulait pas de mon cul, voilà que finalement il est en train de me ramoner.

À son tour il se termine dans mon intérieur pendant que c'est une nouvelle bite, assez large, qui a pris la place dans ma bouche de Lopayop.

Dans ma tête, j'essaie de compter à combien de bite j'en suis mais les choses vont tellement vite que je n'arrive plus trop à suivre.

Il y a ceux que j'ai pompé rapidement toute à l'heure, celui que j'ai baisé puis, lui et lui et lui...

Le petit ayant fini de jouer avec mon cul, c'est celui que j'étais en train de pomper qui prends la place.

Cette fois, la queue étant plus large, je sens davantage passer ce qui se passe dans mon intérieur et force est de constater que j'aime vraiment ça.

Il me baise bien, assez brutalement mais bien.

À son tour, il termine et je ne sais pas s'il a craché ou pas. 
Je ne sais pas à combien de doses de jus j'en suis.

1 ? 2 ? Peut-être 3.

De nouveau en libre-service, posé contre le mur et la cuve en présentation, je ne vais pas attendre longtemps pour qu'un nouveau prenne la place et puis un autre et encore un.

Cette fois, je ne sais vraiment plus à combien j'en suis.

Enfin, le dernier me dose et en même temps je crache tellement je suis excité et à force de me branler.

Ça fait la deuxième fois que je jute en l'espace de très peu de temps mais je n'arrive pas à être rassasié. 
Alors je laisse encore la place à un mec qui avait l'air d'avoir vraiment envie d'abuser de ma cuve avec sa queue bien large.

Il me baise et c'est trop bon encore une fois et ce, malgré que je n'aime pas la manière dont il s'agrippe à moi.

Enfin là je crois que c'est la fin pour moi.
À force de me faire baiser, les allers-retours font un effet de frottements qui commencent à me faire un peu mal et si je compte bien me faire baiser demain et les jours à venir, alors il me faut faire une pause.

Sa queue bien installée dans mon trou, je me retire, remonte et prends le chemin du retour.

Pour une reprise des activités après les fêtes de fin d'année, je peux dire que c'était déjà très bien et au moment où je suis en train d'écrire ce nouveau récit, je n'ai qu'une hâte.

Celle de recommencer...

Mais en attendant, je vous invite à aller vous abonner sur :

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Et regarder la vidéo de ce plan d'aujourd'hui ainsi que les précédents.

Puis retrouvez-moi sur Facebook :

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En attendant de nouveaux plans et de nouveaux récits...

@Lopayop 

* Pute : Dans le contexte de ce récit, le terme est à prendre au second degré. Si cette notion est utilisée comme exemple ou de l'ordre du démonstratif, en aucun cas cela ne signifie une quelconque discrimination des travailleurs(ses) du sexe que je respecte et que je défends. "Pute" est un métier qui devrait être reconnu et officialiser notamment pour reconnaître le courage dont font preuve les personnes concernées.

Depuis le 20 décembre, il ne m'a pas été possible de pomper une seule queue ou bien, trouver un chibre qui me visite le trou et me remplisse l'intérieur de jus.