👉 Partie 1
Dimanche 13 décembre 2020
Une journée ordinaire durant laquelle je ne travaille pas, ce qui me permet d’avoir du temps pour baiser si tant est que je trouve de
quoi me satisfaire.
Hier soir, j’avais reçu un message par sms de la part d’un acteur porno connu par les kiffeur, qui proposait une touze de 22h à plus
tard dans la journée de ce dimanche.
Sur le moment je n’avais pas répondu et ce, parce que je ne connaissais pas encore ma bonne disponibilité de la journée et parce que je
devais probablement me rendre chez un mec qui – par message interposés – paraissait chaud.
Depuis que je me suis levé je pense à ce plan dont nous avions discuté et impatient, j’envoie un sms au mec pour qu’il m’assure qu’il
est à la fois toujours aussi chaud mais aussi et surtout, toujours disponible.
Ne voyant pas de réponse arriver, je me balade à la fois sur différents sites mais aussi sur les diverses application permettant
parfois de trouver de bons plans culs.
Rien de fou aujourd’hui et ma crainte de ne rien faire commence à se faire ressentir.
Je ne vais quand même pas passer cette journée, ce jour de repos à ne pas baiser ou du moins, à ne pas me faire baiser, sinon m’occuper
d’une bonne queue minimum !
Cette crainte étant, je vais attraper mon téléphone et demander au fameux hôte de la touze si elle est toujours d’actualité et s’il
pense avoir besoin de chaire fraîche dans l’après-midi.
Contrairement à l’autre, lui me répond rapidement et nos brefs échanges me motivent à me préparer pour aller voir comment ça se passe
là-bas, sur Paris.
Mais je crains cette touze. D’abord parce que je ne suis pas aller à ce genre d’événement depuis longtemps mais aussi parce que
j’appréhende l’état possible des mecs qui prennent des chems.
Ma douche est prise, mon trou est prêt à l’emploi, je peux prendre la route.
Sur le chemin, je décide de faire un crochet par le lieu de drague que je fréquente régulièrement et j’espère bien y trouver de
premières queues.
J’arrive et est-ce parce qu’il fait froid et pas beau ou est-ce pour une autre raison, je ne sais pas mais il n’y a pas l’air d’avoir
beaucoup de monde ici.
J’attends dans ma voiture pour rester au chaud et observer s’il y a mecs pas mal qui arrivent.
Force est de constater que cette journée s’annonce pas très bien et notamment parce que je n’ai pas vu de beaux mecs passer mais en
revanche, je viens d’en voir un sortir du bois.
Bien que je suppose que ce soit trop tard, je descend de ma voiture pour qu’il puisse me voir et je m’oriente vers le bois en espèrant
lui avoir plu et qu’il fasse demi-tour.
Mais non, il continue sur sa lancée et s’oriente vers la sortie.
Frustré et dégoûté de ne pas avoir été faire un repérage dans le bois plutôt que de rester dans ma voiture, je retourne à cette
dernière pour être encore au chaud.
Après quelques minutes, c’est ce même jeune (et bien charmant) homme que je vois repasser et retourner dans le bois.
Cette fois je ne le laisse pas filer et je le suis.
Son comportement me laisse croire que je ne l’intéresse pas.
Non seulement il ne me porte pas beaucoup d’attention mais en plus il ne fait paraître aucun geste qui pourrait me faire espérer une
quelconque aventure sexuelle possible.
Mon idée de faire quelque chose avec lui s’évade peu à peu et je continue ma chasse mais rien ne m’attire et nous ne sommes pas
nombreux sur le lieu de drague.
En me baladant, je crois à plusieurs reprise ce mec qui est mon envie du moment et ma proie que je vois à présent me devancer et enfin
m’accorder une forme d’intérêt.
Ne voulant me faire prier, je vais le suivre, voir ce qu’il fait et comment il va réagir à mon approche.
Plus haut, il s’arrête à l’un de me bosquet préféré et enfin, je vais pouvoir tenter quelque chose.
Me voilà enfin à son niveau et ma main se pose sur son paquet pendant que la sienne est déjà en train de débouter son pantalon.
Mes doigts agrippent son sous vêtement qui protège cette queue qui me paraît bien durcir et dont il me faut m’occuper maintenant qu’elle est « à moi ».
Avec son pouce, le mec passe l’élastique de son boxer sous ses couilles et offre à ma bouche une queue de taille correcte.
Ma langue étant à peine en train de visiter la verge du jeune beau gosse que j’entends de sa bouche quelques premiers gémissements me
laissant comprendre que je suis sur la bonne voie, qu’il prend déjà du plaisir et qu’en faisant mieux, il en prendra davantage.
Comme avec d’autre, ce que j’apprécie c’est que pendant que je m’occupe de son chibre, le mec accepte que je filme ma gueule de Lopayop
et il va même jusqu’à prendre mon téléphone des mains pour filmer aussi. J’adore !!!!
Étre accroupi c’est cool mais au bout d’un moment, ça commence à tirer un peu et comme j’ai quelques difficultés articulaires, il m’arrive de me redresser lorsque je suce.
L’avantage, c’est que mon cul est à hauteur de mains et que le mec à qui je procure du plaisir peut me caresser la croupe et avoir envie de me la mettre.
Lui, il me caresse le cul mais n’a pas l’air de vouloir y aller.
SNIF.
Tant pis, je continu à la sucer et enfin arrive mon instant préféré.
Celui où il crache et dépose dans ma bouche gourmande, tout ce jus que je savoure et lèche jusqu’à la dernière goutte.
L’un comme l’autre étant poli, nous nous remercions mutuellement et partons chacun de notre côté.
Si lui c’est vidé les couilles, moi j’ai toujours faims de queues et de jus et je ne peux pas en rester là, il faut aller à la partouze.
Avec déjà une dose dans le gosier, c’est satisfait que je quitte les lieux et que je reprends la route pour Paris.
40 minutes de route et j’arrive enfin du côté de Pigalle, là où se passe la touze.
Sur ma droite, l’Atlas, un cinéma porno très connu des gays.
Pour cause, c’est un établissement dans lequel ça baise beaucoup et ce, malgré que les films diffusés soient vieux et hétéros.
Dans cet établissement, ce sont beaucoup de mecs en situation irrégulière et beaucoup de trav.
D’ailleurs, si tu es pas trav, tu as beaucoup moins de chance de te faire baiser.
Les lieux sont assez crades, ça pu et quand ça baise, c’est quasi tout le temps sans capote.
Il faut être honnête, c’est aussi un nid à IST mais pas de jugement.
Quand quelqu’un va là-bas, il sait ce qu’il fait et notamment s’il baise sans capote.
Pour les salopes à jus, c’est quand même un petit paradis.
Bref, je passe devant et je cherche une place mais bien que beaucoup d’établissements soient fermés, il y a du monde et je vais galérer
presque 30 minutes avant de trouver une place.
Autant de temps passé dans ma voiture à appréhender cette touze et presque à regretter d’avoir dis à l’organisateur que j’y allais mais
bon… Je ne suis pas un Fake alors…
Enfin je trouve une place et après quelques mètres de marche, je suis devant sa porte à laquelle je frappe jusqu’à ce qu’elle me soit
ouverte par un petit mec nuancé plutôt pas mal.
Lorsque j’entre, c’est une putain de chaleur humide que je me prends à la gueule, c’est presque irrespirable. D’abord il doit y avoir
du chauffage mais en plus de la transpiration vu qu’ils sont en touze depuis la veille mais ça ne pu pas le mâle.
Sur ma droite, la salle de bain dans laquelle est en train de se doucher un mec dont le profil met en appêtit.
En face la cuisine de laquelle sort l’organisateur pour me saluer et d’autres mecs qui me font déjà presque bander et sur ma gauche, le
salon avec matelas au sol, 3 mecs posés contre le mur avec leur téléphone et deux autres qui sont en train de faire ce qu’il ont à faire.
Bien que les mecs aient l’air quasi tous canons, je regrette presque d’avoir persister et d’être venu.
L’idée de venir en cours d’une touze qui a déjà bien démarrée c’est prendre le risque que les mecs soient déjà les couilles vidées et de surcroît, trop planants pour assurer.
Enfin… maintenant je suis là donc je verrais bien.
Ma participation de 10 € donnée, le mec qui organise et reçoit la touze me donne un sac poubelle pour que je puisse y déposer mes affaires.
Certains gars passent à côté de moi pour aller du salon à la cuisine, ils me saluent et moi, je m’imagine déjà entrain de les pomper ou encore me faire baiser par ces étalons.
L’un d’eux va se démarquer, il vient me fait la bise et me dit :
Toi, avec autant de poils, je suis certain que tu es actif !
Mais quelle idée ! lol
Étant venu ici pour m’en prendre plein le cul, je lui confirme que non, que je suis bel et bien passif, ce qui va d’ailleurs le faire sourire d’un air intéressé.
Me voilà à poil et maintenant, je ne sais pas trop par où commencer, comment m’y prendre sachant que je ne sais pas
où en sont tous ces mecs dans leur libido.
Alors je vais en face, dans la cuisine, et je retrouve ce charmant jeune homme qui est venu me saluer.
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