Jeudi 17 décembre 4 17 /12 /Déc 19:50

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👉 Partie 1 

 

Dimanche 13 décembre 2020

Une journĂ©e ordinaire durant laquelle je ne travaille pas, ce qui me permet d’avoir du temps pour baiser si tant est que je trouve de quoi me satisfaire.

Hier soir, j’avais reçu un message par sms de la part d’un acteur porno connu par les kiffeur, qui proposait une touze de 22h Ă  plus tard dans la journĂ©e de ce dimanche.


Sur le moment je n’avais pas rĂ©pondu et ce, parce que je ne connaissais pas encore ma bonne disponibilitĂ© de la journĂ©e et parce que je devais probablement me rendre chez un mec qui – par message interposĂ©s – paraissait chaud.

Depuis que je me suis levĂ© je pense Ă  ce plan dont nous avions discutĂ© et impatient, j’envoie un sms au mec pour qu’il m’assure qu’il est Ă  la fois toujours aussi chaud mais aussi et surtout, toujours disponible.

Ne voyant pas de réponse arriver, je me balade à la fois sur différents sites mais aussi sur les diverses application permettant parfois de trouver de bons plans culs.

Rien de fou aujourd’hui et ma crainte de ne rien faire commence à se faire ressentir.

Je ne vais quand mĂȘme pas passer cette journĂ©e, ce jour de repos Ă  ne pas baiser ou du moins, Ă  ne pas me faire baiser, sinon m’occuper d’une bonne queue minimum !

Cette crainte Ă©tant, je vais attraper mon tĂ©lĂ©phone et demander au fameux hĂŽte de la touze si elle est toujours d’actualitĂ© et s’il pense avoir besoin de chaire fraĂźche dans l’aprĂšs-midi.

Contrairement Ă  l’autre, lui me rĂ©pond rapidement et nos brefs Ă©changes me motivent Ă  me prĂ©parer pour aller voir comment ça se passe lĂ -bas, sur Paris.

Mais je crains cette touze. D’abord parce que je ne suis pas aller Ă  ce genre d’évĂ©nement depuis longtemps mais aussi parce que j’apprĂ©hende l’état possible des mecs qui prennent des chems.

Ma douche est prise, mon trou est prĂȘt Ă  l’emploi, je peux prendre la route.

Sur le chemin, je dĂ©cide de faire un crochet par le lieu de drague que je frĂ©quente rĂ©guliĂšrement et j’espĂšre bien y trouver de premiĂšres queues.

J’arrive et est-ce parce qu’il fait froid et pas beau ou est-ce pour une autre raison, je ne sais pas mais il n’y a pas l’air d’avoir beaucoup de monde ici.

J’attends dans ma voiture pour rester au chaud et observer s’il y a mecs pas mal qui arrivent.

Force est de constater que cette journĂ©e s’annonce pas trĂšs bien et notamment parce que je n’ai pas vu de beaux mecs passer mais en revanche, je viens d’en voir un sortir du bois.

Bien que je suppose que ce soit trop tard, je descend de ma voiture pour qu’il puisse me voir et je m’oriente vers le bois en espùrant lui avoir plu et qu’il fasse demi-tour.

Mais non, il continue sur sa lancĂ©e et s’oriente vers la sortie.

FrustrĂ© et dĂ©goĂ»tĂ© de ne pas avoir Ă©tĂ© faire un repĂ©rage dans le bois plutĂŽt que de rester dans ma voiture, je retourne Ă  cette derniĂšre pour ĂȘtre encore au chaud.

AprĂšs quelques minutes, c’est ce mĂȘme jeune (et bien charmant)  homme  que je vois repasser et retourner dans le bois.

Cette fois je ne le laisse pas filer et je le suis.

Son comportement me laisse croire que je ne l’intĂ©resse pas.

Non seulement il ne me porte pas beaucoup d’attention mais en plus il ne fait paraĂźtre aucun geste qui pourrait me faire espĂ©rer une quelconque aventure sexuelle possible.

Mon idĂ©e de faire quelque chose avec lui s’évade peu Ă  peu et je continue ma chasse mais rien ne m’attire et nous ne sommes pas nombreux sur le lieu de drague.

En me baladant, je crois Ă  plusieurs reprise ce mec qui est mon envie du moment et ma proie que je vois Ă  prĂ©sent me devancer et enfin m’accorder une forme d’intĂ©rĂȘt.
Ne voulant me faire prier, je vais le suivre, voir ce qu’il fait et comment il va rĂ©agir Ă  mon approche.

Plus haut, il s’arrĂȘte Ă  l’un de me bosquet prĂ©fĂ©rĂ© et enfin, je vais pouvoir tenter quelque chose.

Me voilà enfin à son niveau et ma main se pose sur son paquet pendant que la sienne est déjà en train de débouter son pantalon.
Mes doigts agrippent son sous vĂȘtement qui protĂšge cette queue qui me paraĂźt bien durcir et dont il me faut m’occuper maintenant qu’elle est « Ă  moi Â».
Avec son pouce, le mec passe l’élastique de son boxer sous ses couilles et offre Ă  ma bouche une queue de taille correcte.

Ma langue Ă©tant Ă  peine en train de visiter la verge du jeune beau gosse que j’entends de sa bouche quelques premiers gĂ©missements me laissant comprendre que je suis sur la bonne voie, qu’il prend dĂ©jĂ  du plaisir et qu’en faisant mieux, il en prendra davantage.

Comme avec d’autre, ce que j’apprĂ©cie c’est que pendant que je m’occupe de son chibre, le mec accepte que je filme ma gueule de Lopayop et il va mĂȘme jusqu’à prendre mon tĂ©lĂ©phone des mains pour filmer aussi. J’adore !!!!

Étre accroupi c’est cool mais au bout d’un moment, ça commence Ă  tirer un peu et comme j’ai quelques difficultĂ©s articulaires, il m’arrive de me redresser lorsque je suce.
L’avantage, c’est que mon cul est à hauteur de mains et que le mec à qui je procure du plaisir peut me caresser la croupe et avoir envie de me la mettre.

Lui, il me caresse le cul mais n’a pas l’air de vouloir y aller.

SNIF.

Tant pis, je continu à la sucer et enfin arrive mon instant préféré.

Celui oĂč il crache et dĂ©pose dans ma bouche gourmande, tout ce jus que je savoure et lĂšche jusqu’à la derniĂšre goutte.

L’un comme l’autre Ă©tant poli, nous nous remercions mutuellement et partons chacun de notre cĂŽtĂ©.
Si lui c’est vidĂ© les couilles, moi j’ai toujours faims de queues et de jus et je ne peux pas en rester lĂ , il faut aller Ă  la partouze.

Avec dĂ©jĂ  une dose dans le gosier, c’est satisfait que je quitte les lieux et que je reprends la route pour Paris.

40 minutes de route et j’arrive enfin du cĂŽtĂ© de Pigalle,  lĂ  oĂč se passe la touze.

Sur ma droite, l’Atlas, un cinĂ©ma porno trĂšs connu des gays.
Pour cause, c’est un Ă©tablissement dans lequel ça baise beaucoup et ce, malgrĂ© que les films diffusĂ©s soient vieux et hĂ©tĂ©ros.

Dans cet établissement, ce sont beaucoup de mecs en situation irréguliÚre et beaucoup de trav.
D’ailleurs, si tu es pas trav, tu as beaucoup moins de chance de te faire baiser.

Les lieux sont assez crades, ça pu et quand ça baise, c’est quasi tout le temps sans capote.
Il faut ĂȘtre honnĂȘte, c’est aussi un nid Ă  IST mais pas de jugement.

Quand quelqu’un va là-bas, il sait ce qu’il fait et notamment s’il baise sans capote.

Pour les salopes Ă  jus, c’est quand mĂȘme un petit paradis.

Bref, je passe devant et je cherche une place mais bien que beaucoup d’établissements soient fermĂ©s, il y a du monde et je vais galĂ©rer presque 30 minutes avant de trouver une place.

Autant de temps passĂ© dans ma voiture Ă  apprĂ©hender cette touze et presque Ă  regretter d’avoir dis Ă  l’organisateur que j’y allais mais bon
 Je ne suis pas un Fake alors


Enfin je trouve une place et aprĂšs quelques mĂštres de marche, je suis devant sa porte Ă  laquelle je frappe jusqu’à ce qu’elle me soit ouverte par un petit mec nuancĂ© plutĂŽt pas mal.

Lorsque j’entre, c’est une putain de chaleur humide que je me prends à la gueule, c’est presque irrespirable. D’abord il doit y avoir du chauffage mais en plus de la transpiration vu qu’ils sont en touze depuis la veille mais ça ne pu pas le mñle.

Sur ma droite, la salle de bain dans laquelle est en train de se doucher un mec dont le profil met en appĂȘtit.

En face la cuisine de laquelle sort l’organisateur pour me saluer et d’autres mecs qui me font dĂ©jĂ  presque bander et sur ma gauche, le salon avec matelas au sol, 3 mecs posĂ©s contre le mur avec leur tĂ©lĂ©phone et deux autres qui sont en train de faire ce qu’il ont Ă  faire.

Bien que les mecs aient l’air quasi tous canons, je regrette presque d’avoir persister et d’ĂȘtre venu.
L’idĂ©e de venir en cours d’une touze qui a dĂ©jĂ  bien dĂ©marrĂ©e c’est prendre le risque que les mecs soient dĂ©jĂ  les couilles vidĂ©es et de surcroĂźt, trop planants pour assurer.

Enfin
 maintenant je suis là donc je verrais bien.

Ma participation de 10 € donnĂ©e, le mec qui organise et reçoit la touze me donne un sac poubelle pour que je puisse y dĂ©poser mes affaires.
Certains gars passent Ă  cĂŽtĂ© de moi pour aller du salon Ă  la cuisine, ils me saluent et moi, je m’imagine dĂ©jĂ  entrain de les pomper ou encore me faire baiser par ces Ă©talons.

L’un d’eux va se dĂ©marquer, il vient me fait la bise et me dit :

Toi, avec autant de poils, je suis certain que tu es actif !

Mais quelle idĂ©e ! lol 

Étant venu ici pour m’en prendre plein le cul, je lui confirme que non, que je suis bel et bien passif, ce qui va d’ailleurs le faire sourire d’un air intĂ©ressĂ©.

Me voilĂ  Ă  poil et maintenant, je ne sais pas trop par oĂč commencer, comment m’y prendre sachant que je ne sais pas oĂč en sont tous ces mecs dans leur libido.
Alors je vais en face, dans la cuisine, et je retrouve ce charmant jeune homme qui est venu me saluer.

 

Par lopayop
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