Le blog de lopayop

Hier, lors d'une de mes aventures sexuelles ou bien juste en marchant, j'ai perdu l'un de mes téléphones et ça me fait chier parce qu'il était bien utile pour faire des vidéos.

Si j'ai une forme d'exhibitionnisme, j'aime avoir le contrôle sur les images que je diffuse ou pas et là, si quelqu'un tombe que l'appareil et que - par je ne sais quel miracle - il/elle arrive à fouiller dedans, alors c'est quelques images hot qu'il/elle pourra visionner.

J'espère qu'il est perdu dans les bois et qu'il va se détériorer avec le temps.

Mais aujourd'hui j'ai quand même essayé de le retrouver.
Je suis donc retourné d'abord sur le lieu de drague et plus particulièrement là où je me suis occupé de la queue de Mamadou et n'ayant rien retrouvé, je me suis décidé à aller sur Paris, au jardin des Tuileries.

Au fond j'espère vraiment retrouver le téléphone et tant qu'à faire, m'occuper d'une ou plusieurs queues.

Arrivé sur place j'aperçois au loin une garde montée.
C'est la police nationale, je crois et cette ronde signifie que je ne vais pas trouver de queues à sucer ou bien pour me baiser.

Tant pis, la priorité est d'aller où j'étais hier alors qu'il faisait nuit et de voir si par le plus grand des hasards et avec un peu de chance, j'arrive à retrouver ce foutu téléphone.

Je descends d'abord à l'escalier où je me suis fait baiser pour la dernière fois.
Là où j'étais surtout penché et là où mon téléphone aurait pu glisser de l'une de mes poches.

À part des capotes usagées, des mouchoirs et des masques, rien qui ne m'intéresse au sol.

Je me dépêche de remonter et d'aller voir à l'autre endroit qui est plus ou moins similaire.

Ce que je trouve parterre est semblable à ce que j'ai vu voir précédemment

 

Je crois bien que c'est peine perdue.

 

En remontant, j'entends un mec toussé derrière les buissons.
S'il est là ça n'est pas pour "conter Fleurette" et qui sait, c'est peut-être un putain de beau mec !

 

Mais je déchante et celui que j'aperçois n'est absolument pas le genre de gars que j'ai envie de me faire maintenant et ce, malgré que j'ai envie de bite.

Alors je décide de retourner à ma voiture dans l'idée de rester au chaud tout en étant en chasse sur des applications.

Mais nous sommes lundi et force est de constater qu'une partie de la population a reprise le travail.
Si les mecs sont connectés ils ne sont pas pour autant disponibles.

Finalement je vois la photo d'un mec qui attire mon attention.
C'est un asiatique donc je décide d'aller lui parler et par chance il me répond.

 

Rapidement, nous allons aux faits.

👉 Il est chaud

👉 Je suis chaud

👉 Il a envie de se vider et moi, de me faire remplir.

Il baise BBK et moi aussi, pas de doute, nous sommes compatibles !!! 😍😍😍

 

Recevant à son bureau il me demande d'être discret et sur ce point, bien évidemment il peut compter sur moi.

 

Une rue un peu plus loin de celle où je me trouve, j'arrive face à une grande porte cochère et vu qu'elle est bien entourée d'échafaudages, je ne suis pas certain d'être au bon numéro. Ce dernier ne se voit pas .

Finalement si, je suis bien au bon endroit. Le type me dit où aller et une fois au 3ème, il m'ouvre la porte.

Alors je le suis et me voilà dans un labyrinthe avec de grands bureaux de partout. 

 

C'est immense ici !!!!

 

Nous nous arrêtons au bout d'un grand couloir et le petit mec m'explique que nous allons faire nos affaires ici pour éviter une certains vis-à-vis avec les fenêtres du bâtiment d'en face.

Rapidement il se désape et moi je choppe ma queue dans la main pour commencer à la branler.

La queue qu'il va me falloir faire cracher n'est pas énorme et n'est franchement pas grande mais c'est une bite et une queue, qu'importe comment elle est, lorsque l'on est une Lopayop, on la déguste.

Puis je suis certain que dans mon trou elle va savoir faire le travail de remplissage dans les règles de l'art.

Afin qu'elle soit bien dure et bien en forme pour me défoncer l'anus, je commence par m'occuper de cette tige avec ma bouche chaude et encore vierge de bite depuis mon levé ce matin.

Après avoir caressé sa verge avec ma bouche de salope, voilà que le mec est derrière mon trou, qu'il me passe un doigt et puis un autre.

Chaud comme je suis, autant dire que ça entre nickel et que sa tige sera la bienvenue en moi pour me ramoner le conduit et me lubrifier les parois.

Nous y sommes, il est en train de faire les allers-retours de plaisir dans mon trou et je sur-kiff avoir sa bite me carressant l'intérieur.

À nouveau il se retire et je suis assez content. J'étais à 4 pattes sur le sol et malgré que ça soit de la moquette, ça ne me faisait pas du bien aux genoux.
Sa queue pleine de lubrifiant et de mouille anale, je la saisi, la branle et la caresse avec mes lèvres puis ma langue de salope.

Maintenant j'en ai assez de sucer, ce que je veux c'est sa bite dans ma cuve à jus et qu'il y déverse son nectar de couilles.

Il me ramone de nouveau, souffle de plus en plus fort, commence par émettre quelques petits sons et enfin, il me dit qu'il va juter.

C'est exactement ce que je veux et c'est à mon tour de m'exprimer pour le motiver à bien tout lâcher en moi.

Me voilà plus plein que lorsque je suis arrivé à son bureau.
Une cuve juteuse mais qui mérite d'avoir encore un peu plus de jus.

Hop ! Je ramasse mes affaires, me rhabille, le remercie et m'en vais pour rejoindre ma voiture et me connecter à nouveau sur les applications.

Sauf que....en face de moi, je vois de nouveau le jardin des Tuileries, que la luminosité est moins bonne et donc, que j'ai peut-être plus de chance d'y trouver mon bonheur.

 

Me voilà reparti pour les bosquets et les escaliers.

Sur place, plus de monde que toute à l'heure mais ceux qui sont là ont, pour la majeure partie, le double de mon âge ou presque.

Tous sauf un.... Lui, je dirais qu'il a 45 ans au plus.
Veste bleue, casquette bleue mise en arrière, visage fin (pour ne pas dire creusé), maigre, jean trop large... Il a un petit air de dépravé et de prime abord, il pue le sexe. J'adore !!!!

Nous nous croisons et alors, son regard est très expressif. Je crois bien que si moi j'ai envie de l'essayer, lui a envie d'en faire de même avec moi.

Là où il est il a vu sur les escaliers qui ne mènent d'ailleurs nulle part.
Une fois en bas, ce sont des culs de sacs.

Je descends et direct le mec à la casquette me suit.
Malheureusement à un autre mec aux airs assez bourgeois a bien compris que nous nous plaisions et que si nous descendons tous les deux au même endroit, ça n'est pas pour faire une partie de carte.
Alors il descend aussi et nous voilà à 3.

Si d'ordinaire j'aurais accepté que d'autres mecs viennent se "greffer" à nous, pour cette fois j'avais envie d'être seul avec celui qui est putain de sexy.

Dérangés, nous décidons de remonter et je suis le "pervers".

À chaque fois que je viens ici, je vais en bas des escaliers donc là, je ne saisi pas bien où il m'emmène et où nous pourrions être tranquilles alors qu'il fait encore jour et qu'il y a beaucoup de monde dans les parages.

Puis un autre type qui nous a également remarqué se met à suivre nos pas.

Enfin... Nous arrivons à semer l'individu et le mec à la casquette disparaît dans un buisson.

Stupéfait... je suis stupéfait.

 

En fait les topiaires du jardin des tuileries sont de vraies backroom et à l'intérieur des arbustes c'est parfois même plus grand que certains bordels parisiens.

 

Tous les deux à l'abri des regards indiscrets, le gars enlève sa veste, son sac et sa casquette puis se met à genoux devant moi.
Autour, c'est un amas de capotes usagées, d'emballages métalliques et de mouchoirs.

Cela montre deux choses ! D'abord, que beaucoup se protègent et c'est quand même une bonne chose mais aussi que ces espaces verts sont très fréquentés.

Désormais, je sais que lorsque je vais au jardin des Tuileries, il faudra aussi que je traîne par ici.

Bref... Direct il se met à genoux devant moi et ayant déjà ma queue de sortie et bien raide, il la saisi et la prends en bouche.

Merde ! Ça n'était pas mon plan ça ! Ce que je voulais c'est avoir de la bite, pas que l'on s'occupe de la mienne 😅

Bon... ça lui fait plaisir et moi, je dois avouer qu'il a une bonne bouche.
Tout en me suçant le dard, il me demande ce que je kiff et je vais rebondir sur sa question pour lui dire que je suis venu ici pour m'en prendre plein la chatte.
Ce que je veux, c'est autant de queues que possible pour mes deux orifices, à savoir, ma bouche et mon trou.

Il me dit de ne pas m'inquiéter, qu'il aime pomper, qu'il aime se faire baiser mais qu'il aime aussi enculer et qu'il va s'occuper de moi.

Puis il se redresse et me demande de m'installer en lui, de lui ramoner le conduit et bien lui dilater le trou.

(Ok, ça ne sont pas ses mots mais c'est tout comme).

 

Voilà que le dépravé à son cul qui se présente à ma queue et sur le bas de son dos, un très beau tatouage dont les traits me rappellent brièvement ceux du sigle "Biohazard" mais ça n'en est pas un.

Après s'être très rapidement badigeonner le trou de gel, me voilà en train de glisser en lui et de lui faire le cul.

Son trou est un délice et il me faut faire attention.
Exciter comme je suis, si je le baise trop vite ou trop longtemps, je risque de le féconder et c'est hors de question que je me vide maintenant alors que j'ai encore envie de queues et de jus.

Alors je me retire et c'est à mon tour de poser sa bite sur ma langue en manque de foutre. 

Sa queue est de bonne taille, peut-être un peu trop poilu à mon goût mais quand même très agréable à pomper.
Entre mes deux mâchoires, cette tige est bien dure et à force de la palper avec ma langue, j'imagine très bien ce phallus dans mon cul.

Je cesse donc de le sucer, me redresse et présente à mon tour ma cuve à jus.

Voilà, il est en moi ! Il me baise un peu, s'arrête et me demande de le prendre à nouveau.

Il semblerait que nous sommes pareil et que nous recherchons vraiment la même chose. Je doute que ça le fasse longtemps entre lui et moi.

Pour lui faire plaisir et rendre la monnaie de la pièce, j'accepte de le sodomiser encore mais de nouveau, je me stop pour ne pas juter et surtout parce que je préfère la position contraire.

Lui derrière et moi devant !

Ce petit jeu d'inversements des rôles va durer un peu et même si c'est bon, je stoppe notre petit moment en expliquant au mec que perso j'ai vraiment besoin de jus et que je vais donc repartir en chasse.

Me voilà reparti et au niveau des escaliers.

Ça tourne pas mal mais il n'y a pas l'air d'avoir beaucoup d'action.

Finalement un mec me regarde, il a des airs de migrants et il me tente pas mal, alors je descends et j'observe que sans plus attendre il me suit.

Me voilà en bas contre le mur, le pantalon sous mes de pommes du fessier.

Derrière moi, il commence à me toucher le cul et moi pour lui faire comprendre que je suis pressé de m'en prendre une, je commence à lui tâter le paquet avec ma main gauche.

Je ne sens pas grand-chose et ça veut dire qu'il ne bande pas ou alors qu'il n'a pas une que de ouf.

Enfin, il sort sa bite et par un coup de pression sur mon épaule, il m'invite à me retourner, à me baisser et à le pomper.

Malheureusement pour lui, de suite ça n'est pas ce dont j'ai envie. Ce que je veux là, c'est me faire défoncer la rondelle puis n'arrivant pas à bander, il me soûle     alors je me casse.

En haut, j'observe ce qu'il se passe, fume ma clope et regarde un mec typé qui est lui-même en train de me z'yeuter.
Un autre mec qui fait penser à un migrant et qui à l'air plutôt pas mal.

Je reproduis le schéma précédent et cette fois le mec ne va pas se faire attendre pour sortir sa queue et la ranger au chaud dans mon trou.

Sa queue n'est pas dingue et à vrai dire, elle ne me fait pas beaucoup d'effet.
Néanmoins, j'ai une bite dans le trou et je ne vais pas jouer la fine bouche.

Après quelques allers-retours, le mec s'arrête, se retire s'essuie la queue.
A-t-il craché ? Je ne sais pas mais je ne crois pas. Je pense qu'il a arrêté de me baiser parce qu'il vient d'arriver et qu'il ne veut pas juter de suite.

Tant-pis, je n'ai pas de nouvelle dose et je vais aller en chercher ailleurs.

Je traîne ici et là mais il n'y a pas grand-chose qui m'intéresse.
Comme il caille, je décide finalement de chasser encore sur les applications mais cette fois-ci, en restant au chaud dans ma voiture.

Après de longues minutes, rien ne se profile et je pense à rentrer chez moi.

Mais je n'arrive pas à prendre la décision de partir, je sens en moi qu'il y a vraiment un manque de queues juteuses.

Sur l'une des applications, il y a un mec que j'avais déjà rencontré qui est connecté et je lui propose de me doser avant que je reprenne la route.

Il me dit qu'il est ok, qu'il m'attend et direct, il m'envoie son adresse, les codes accès, l'étage et le numéro de sa porte.

Moi, je réponds :

👉 "Contacte les mecs les plus och de ton répertoire, une cuve à jus débarque chez toi ! Il faut me faire tourner !"

Ce lundi n'est pas des plus ouf, il n'y a personne de disponible et une fois chez ce mec, il va me confirmer qu'il n'a pas réussi à trouver d'autres mecs.

Dommage !

Enfin, sa queue est assez bonne et avec ce tatouage de sigle "Biohazard", ça m'excite beaucoup.

Pour le moment il ne bande pas mais ça ce n'est pas grave. C'est à ma bouche de "pute" de faire le travail et de bien faire gonfler cette queue bien lourde pour qu'elle puisse m'éclabousser l'intérieur de tout son jus.

Me voilà accroupi, la bouche bien pleine d'une très bonne bite, mes yeux rivés sur le tatouage piqué entre le nombril et la queue.

Sur ma langue, je sens bien la tige devenue bien dure.

Je me relève, me retourne, me penche sur le canapé et lui, installe confortablement sa bite en moi.

Elle est vraiment bien dans ma cuve et ses coups de reins me procurent vraiment du plaisir.

Pendant qu'il est en train de me baiser, je réponds à des messages reçus sur une application et ce, dans l'espoir qu'un mec (ou plus) vienne nous rejoindre.

Cette fois, c'est un gars qui me propose de venir chez lui en me précisant qu'ils sont deux et il m'envoie la photo d'un putain de beau gosse.

Je lui réponds que je suis en train de me faire baiser, que je vais me faire doser mais que je débarque tout juste après.

Il accepte ! Trop bien, je suis - en fait - en train de faire la tournée des jus !

 

Mon baiseur s'arrête pour faire une pause clope. 

Sur le moment ça me gave un peu, ce que je veux c'est me faire doser sans trop perdre de temps puis me dépêcher pour aller rejoindre les deux autres mais comme il est sympa, je ne dis rien et j'attends.

Sa clope fini, il se lève du canapé et présente sa bite redevenue molle à ma bouche.

De nouveau je m'occupe d'elle avec ma bouche à bite et de nouveau il s'occupe de ma rondelle qu'il dilate bien.

Au coin de mon oreille, il me prévient que son jus est en train d'arriver et nos échanges verbaux se destinent à bien l'exciter pour que cette sauce monte bien et qu'elle se dépose bien en moi ! 

C'est bon, c'est chaud, ça coule en moi ! Mon baiser vient de larguer tout son sperme bien frais et vient de faire un heureux !

 

Plus de temps à perdre ! Il faut que j'aille me faire tasser.

Sur les réseaux, pas mal de messages et du coup quelques bonnes opportunités pour aller vider de la bite mais cette fois, c'est chez les deux mecs que je vais. Ils ont l'air pas trop mal et surtout, ils ont l'air bien chauds !

Mon GPS annonce 10 minutes, c'est parfait !

J'ai de la chance, il y a une place à proximité. Me voilà arrivé, en bas de chez eux.

Dans la rue, tout un tas de Pakistanais et l'ambiance me donne l'impression d'être dans la zone.

Si seulement tous ces mecs qui traînent dans la rue pouvaient me passer dessus....

 

Arrivé chez eux, le mec qui m'ouvre est en effet pas trop mal et il m'accueille sympathiquement.
Je le suis et lorsque nous arrivons dans la cuisine, j'observe direct plusieurs choses.

👉 D'abord, il y a un mec typé Maghrébin qui est là et lui et je n'étais pas du tout au courant de sa présence.

👉 Sur le plan de travail, de petits morceaux de pailles. Je crois que les mecs ce sont fait quelques rails et j'aurais dû m'en douter, chauds comme ils paraissent l'être, ils sont forcément sous chems. 

👉 Le mec dont mon interlocuteur m'avait envoyé la photo et, quant à lui, posé devant son ordinateur en train de faire une réunion de travail.

Mais putain, qu'est-ce que je fous ici et c'est quoi encore ce plan foireux !?

Mon interlocuteur (le même qui m'a ouvert la porte et qui nous reçoit tous) commence par me présenter le rebeu en me disant que ça n'était pas prévu, qu'il vient d'arriver puis... il se met à se branler en me disant de me m'être à l'aise et de venir m'occuper de sa belle bite.

L'imprévu, lui, est en chaussettes et en t-shirt.

Direct, j'enlève mon blouson, pose sur la table mon téléphone, mon Poppers, mon gel et me mets à pomper cette belle  bite bien bandante qui se présente à moi.

Le rebeu arrive derrière moi pendant que l'autre continu, comme si de rien n'était, sa réunion de travail. C'est un peu perturbant !

Devant moi, une très belle bite que j'ai hâte d'avoir dans mon trou et derrière, des mains baladeuses et une queue qui n'a pas l'air énorme mais qui n'est pas encore au "garde-à-vous".

Tout en suçant, je choppe mon téléphone pour filmer et le poppers.

Le plan devient de plus en plus chaud et notamment sur le plan du dialogue qui me place bien à mon rôle de salope.

Les deux mecs se passent mon téléphone pour filmer et moi, je me relève pour me retourner et m'asseoir sur la bite de l'hôte.

Le rebeu étant en train de filmer, le baiseur montre comment mon trou est bien dilaté, prêt à accueillir des queues, des queues et encore des queues.

Ce moment est trop bon et la bite de l'actif glisse tellement bien que je suis en train de prendre un pied de ouf.

Tout en me faisant baiser le cul, j'ai dans la bouche cette bite de rebeu et en fait, une fois bien dure, elle est excellente et assez large.

D'ailleurs, je me demande si elle va passer facilement dans mon trou.

Pour savoir, il faut essayer !

Alors je me retire de la queue du baiseur, je me retourne et désormais c'est la putain de bonne bite du rebeu qui est en moi.

Dans ma bouche, la queue de l'actif précédent que je nettoie bien avec ma bouche de salope.

Sur cette bite, c'est un mélange de jus et de mouille. 
Un cocktail agréable.

Le mec que je suis en train de pomper me dit qu'il va falloir que l'on se revoit, que je revienne et que nous baisions dans sa cave.

Il me dit que la prochaine fois, il ira chercher dans la rue des étrangers, pleins de Pakistanais et qu'il me fera tourner à la chaîne.

S'il dit vrai, alors c'est avec plaisir ! J'imagine trop être en libre-service dans sa cave.

Le rebeu se retire de ma cuve et rends mon cul à l'hôte.

Le mec qui est en réunion de travail à quitté la pièce et parle fort au téléphone dans une salle à côté. Dommage qu'il ne participe pas.

De nouveau avec la bonne bite du premier baiseur en moi, je sens que le rythme s'accélère et le rebeu lui demande de juter en moi.

Il y va le gars, il y va ! Il dit que son jus arrive, alors mon trou se dilate bien.

Et voilà... Le jus se dépose bien au fond et le baiseur accompagne bien sa sauce avec quelques derniers coups de reins.

Il se retire, le rebeu me retourne et me demande de me mettre à 4 pattes et de bien me cambrer.

Je m'exécute et lui, me remet sa grosse queue dans la chatte. 

Ça ne dure pas longtemps, mon trou bien juteux et bien lubrifié le fait cracher et lui aussi dépose son jus bien au fond accompagné de râles tels ceux d'un bon mâle qui se vide. 

Une nouvelle dose, UNE !

Cette fois, je sais que je vais devoir reprendre la route pour rentrer chez moi et étant très excité, il me faut me vider.

Plus ou moins assis au sol, je suis en train de me branler sous le regard des deux étalons et de ma queue, jailli tout ce jus qui était en stock.

Mes jets étant tellement puissants que je me suis presque arrosé la gueule.

C'est trop bon de cracher !!!!

Pfiou.... Quelle journée finalement ! En tout cas, je note bien le numéro de ce dernier hôte et lui, quand il veut il me fait tourner.

 

@Lopayop